[gentoo-commits] gentoo commit in xml/htdocs/doc/fr: cron-guide.xml faq.xml gentoo-amd64-faq.xml gentoolkit.xml metadoc.xml openbox.xml

[Sven Vermeulen (swift)]

swift       13/06/01 07:51:36

  Modified:             cron-guide.xml faq.xml gentoo-amd64-faq.xml
                        gentoolkit.xml metadoc.xml
  Added:                openbox.xml
  Log:
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1.12                 xml/htdocs/doc/fr/cron-guide.xml

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plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/cron-guide.xml?rev=1.12&content-type=text/plain
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Index: cron-guide.xml
===================================================================
RCS file: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/cron-guide.xml,v
retrieving revision 1.11
retrieving revision 1.12
diff -u -r1.11 -r1.12
--- cron-guide.xml	29 Aug 2011 11:00:02 -0000	1.11
+++ cron-guide.xml	1 Jun 2013 07:51:36 -0000	1.12
@@ -1,5 +1,5 @@
 <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
-<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/cron-guide.xml,v 1.11 2011/08/29 11:00:02 cam Exp $ -->
+<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/cron-guide.xml,v 1.12 2013/06/01 07:51:36 swift Exp $ -->
 <!DOCTYPE guide SYSTEM "/dtd/guide.dtd">
 
 <guide lang="fr">
@@ -18,6 +18,10 @@
   <mail link="cam"/>
 </author>
 
+<author title="Traducteur">
+  <mail link="jaaf.forums@××××××××.com">José Fournier</mail>
+</author>
+
 <abstract>
 Ce guide explique comment installer et utiliser cron.
 </abstract>
@@ -25,9 +29,8 @@
 <!-- The content of this document is licensed under the CC-BY-SA license -->
 <!-- See http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.5 -->
 <license/>
-
-<version>1.9</version>
-<date>2008-01-26</date>
+<version>2</version>
+<date>2010-11-14</date>
 
 <chapter>
 <title>Cron, la base</title>
@@ -37,12 +40,12 @@
 
 <p>
 Cron est un démon qui lance des tâches qui ont été planifiées à l'aide de la
-commande <c>crontab</c>. Pour cela, il se réveille à chaque minute pour vérifier
-s'il n'y a pas une tâche à lancer en regardant les crontabs des utilisateurs.
+commande <c>crontab</c>. Pour cela, il se réveille à chaque minute pour s'assurer
+qu'il n'y a pas une tâche à lancer en regardant les crontabs (tables de tâches)  des utilisateurs.
 </p>
 
 <note>
-Notez que <e>crontab</e> est à la fois le nom de la liste d'applications à
+notez que <e>crontab</e> est à la fois le nom de la liste d'applications à
 lancer et le nom de la commande qui permet d'éditer cette même liste.
 </note>
 
@@ -63,7 +66,7 @@
 <p>
 Il est également important de noter que chacun des paquets cron dépend de
 <c>sys-process/cronbase</c>. Ce paquet n'est pas techniquement requis par les
-implémentations de cron, mais apportent des fonctionnalités supplémentaires que
+implémentations de cron, mais apporte des fonctionnalités supplémentaires que
 la plupart des utilisateurs apprécieront.
 </p>
 
@@ -87,8 +90,8 @@
 <p>
 Vixie Cron est une implémentation complète de cron basée sur SysV cron. Chaque
 utilisateur possède sa propre crontab et peut y spécifier des variables
-d'environnement. À la différence des autres variantes de cron, il supporte
-SELinux et PAM. Il supporte moins d'architectures que Dcron mais plus que Fcron.
+d'environnement. À la différence des autres variantes de cron, il prend en charge
+SELinux et PAM. Il prend moins d'architectures en charge que Dcron mais plus que Fcron.
 </p>
 
 <p>
@@ -96,10 +99,10 @@
 </p>
 
 <ul>
-  <li>Supporte SELinux.</li>
-  <li>Supporte le fichier <path>/etc/security/limits.conf</path> de PAM.</li>
+  <li>Prend en charge SELinux.</li>
+  <li>Prend en charge le fichier <path>/etc/security/limits.conf</path> de PAM.</li>
   <li>
-    Chaque utilisateur peut avoir son propre crontab. L'accès est contrôlé par
+    Chaque utilisateur peut avoir sa propre crontab. L'accès est contrôlé par
     les fichiers <path>cron.allow</path> et <path>cron.deny</path>.
   </li>
 </ul>
@@ -114,7 +117,7 @@
 Dcron est une implémentation simple, élégante et sûre de cron. Il ne permet pas
 de spécifier des variables d'environnement dans les crontabs et toutes les
 tâches sont lancées avec <path>/bin/sh</path>. Comme dans Vixie Cron, chaque
-utilisateur possède son propre crontab.
+utilisateur possède sa propre crontab.
 </p>
 
 <p>
@@ -124,7 +127,7 @@
 <ul>
   <li>Rapide, simple et sans fonctionnalité superflue.</li>
   <li>
-    L'accès à <c>crontab</c> est limité au groupe cron, il n'utilise aucune
+    L'accès à la <c>crontab</c> est limité au groupe cron, il n'utilise aucune
     autre source externe pour les permissions.
   </li>
 </ul>
@@ -155,15 +158,15 @@
     permanence, il peut lancer une tâche au démarrage si son heure est passée.
   </li>
   <li>
-    Le crontab peut contenir des variables d'environnement ainsi que beaucoup
+    La crontab peut contenir des variables d'environnement ainsi que beaucoup
     d'autres options.
   </li>
   <li>
-    Chaque utilisateur peut avoir son propre crontab. L'accès est contrôlé par
+    Chaque utilisateur peut avoir sa propre crontab. L'accès est contrôlé par
     les fichiers <path>cron.allow</path> et <path>cron.deny</path>.
   </li>
   <li>
-    La syntaxe crontab est améliorée par de nombreuses nouvelles
+    La syntaxe de la crontab est améliorée par de nombreuses nouvelles
     fonctionnalités supportées.
   </li>
 </ul>
@@ -205,7 +208,7 @@
 collaboration avec l'un d'entre eux. Il exécute des commandes à des intervalles
 spécifiés en jours et ne présume pas que le système fonctionne en permanence. Il
 lancera les tâches qui ne l'ont pas été pendant que le système était éteint.
-Anacron s'utilise en général avec un démon cron pour le lancer chaque jour.
+Anacron s'utilise en général avec un démon cron qui le lance chaque jour.
 </p>
 
 </body>
@@ -222,7 +225,7 @@
 Sélectionnez l'implémentation de cron que vous préférez, puis installez-la.
 </p>
 
-<pre caption="Installer cron">
+<pre caption="installer cron">
 # <i>emerge dcron</i>
 # <i>/etc/init.d/dcron start</i>
 # <i>rc-update add dcron default</i>
@@ -232,7 +235,7 @@
 Si vous n'avez pas installé Fcron, vous pouvez éventuellement installer Anacron.
 </p>
 
-<pre caption="Installer anacron">
+<pre caption="installer anacron">
 # <i>emerge anacron</i>
 # <i>/etc/init.d/anacron start</i>
 # <i>rc-update add anacron default</i>
@@ -241,13 +244,13 @@
 </body>
 </section>
 <section id="systemtab">
-<title>Le crontab du système</title>
+<title>La crontab du système</title>
 <body>
 
 <p>
 À la fin de l'installation, certains des paquets cron vous demandent de lancer
 la commande <c>crontab /etc/crontab</c>. Le fichier <path>/etc/crontab</path>
-est le <e>crontab de votre système</e>. Une installation de cron peut l'utiliser
+est la <e>crontab de votre système</e>. Une installation de cron peut l'utiliser
 avec <c>sys-process/cronbase</c> pour lancer les scripts situés dans
 <path>/etc/cron.{daily,hourly,weekly,monthly}</path>. Notez que seul Vixie Cron
 planifie automatiquement les tâches situées dans <path>/etc/crontab</path>. Les
@@ -256,7 +259,7 @@
 </p>
 
 <p>
-Veuillez noter que les tâches planifiées dans le crontab système ne seront pas
+Veuillez noter que les tâches planifiées dans la crontab système ne seront pas
 forcément affichées dans la liste des tâches donnée par <c>crontab -l</c>.
 </p>
 
@@ -267,7 +270,7 @@
 toutes les lignes du fichier <path>/etc/crontab</path>.
 </p>
 
-<pre caption="Commenter toutes les lignes de /etc/crontab">
+<pre caption="commenter toutes les lignes de /etc/crontab">
 # <i>sed -ie "s/^/#/" /etc/crontab</i>
 </pre>
 
@@ -284,32 +287,32 @@
 </p>
 
 <note>
-Donner à un utilisateur la permission d'avoir un crontab ne lui permet pas
+donner à un utilisateur la permission d'avoir une crontab ne lui permet pas
 d'exécuter des tâches en tant que root. Si vous voulez qu'un utilisateur puisse
-éditer le crontab de root, vous devriez penser à utiliser <c>sudo</c>. Vous
+éditer la crontab de root, vous devriez penser à utiliser <c>sudo</c>. Vous
 trouverez plus de détails dans notre <uri link="/doc/fr/sudo-guide.xml">Guide
 Sudo</uri>.
 </note>
 
 <p>
 Quel que soit le paquet cron utilisé, si vous voulez permettre à un utilisateur
-d'avoir un crontab, la première chose à faire est de l'intégrer au groupe cron.
+d'avoir une crontab, la première chose à faire est de l'intégrer au groupe cron.
 Par exemple, si vous voulez ajouter l'utilisateur <e>wepy</e> au groupe cron,
 vous taperez&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Ajouter un utilisateur au groupe cron">
+<pre caption="ajouter un utilisateur au groupe cron">
 # <i>gpasswd -a wepy cron</i>
 </pre>
 
 <note>
-Après avoir ajouté un utilisateur à un groupe, l'utilisateur en question doit
+après avoir ajouté un utilisateur à un groupe, l'utilisateur en question doit
 se reconnecter pour que vos modifications soient prises en compte.
 </note>
 
 <p>
 Si vous utilisez <b>Dcron</b>, c'était tout ce qu'il y avait à faire pour
-permettre à un utilisateur d'avoir son crontab. Les utilisateurs de Dcron peuvent
+permettre à un utilisateur d'avoir sa crontab. Les utilisateurs de Dcron peuvent
 maintenant passer à la section suivante «&nbsp;<uri link="#scheduling">Planifier
 une tâche</uri>&nbsp;».
 </p>
@@ -323,14 +326,14 @@
 </p>
 
 <impo>
-<b>Si ni le fichier <path>/etc/fcron/fcron.allow</path>, ni
+<b>si ni le fichier <path>/etc/fcron/fcron.allow</path>, ni
 <path>/etc/fcron/fcron.deny</path> n'existent, tous les utilisateurs du groupe
 cron auront le droit d'utiliser crontab</b>. Le fichier
 <path>fcron.allow</path> par défaut de fcron <b>permet à tous les
 utilisateurs</b> du groupe cron d'accéder à fcrontab.
 </impo>
 
-<pre caption="Permissions dans fcron.deny">
+<pre caption="permissions dans fcron.deny">
 all
 </pre>
 
@@ -340,7 +343,7 @@
 <path>/etc/fcron/fcron.allow</path> de la façon suivante&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Permissions dans fcron.allow">
+<pre caption="permissions dans fcron.allow">
 wepy
 </pre>
 
@@ -350,9 +353,9 @@
 </p>
 
 <impo>
-Il est important de noter que si seul le fichier <path>/etc/cron.allow</path>
+il est important de noter que si seul le fichier <path>/etc/cron.allow</path>
 existe, alors uniquement les utilisateurs du groupe cron qui sont listés dans ce
-fichier auront le droit d'avoir un crontab. Par contre, si seul un fichier
+fichier auront le droit d'avoir une crontab. Par contre, si seul un fichier
 <path>/etc/cron.deny</path> vide existe, alors tous les utilisateurs du groupe
 cron y auront droit. <b>Ne laissez pas <path>/etc/cron.deny</path> vide si vous
 n'avez pas de <path>/etc/cron.allow</path></b>.
@@ -363,7 +366,7 @@
 l'ajouterez au fichier <path>/etc/cron.allow</path> comme suit&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Permissions dans /etc/cron.allow">
+<pre caption="permissions dans /etc/cron.allow">
 wepy
 </pre>
 
@@ -374,8 +377,8 @@
 <body>
 
 <p>
-La procédure d'édition du crontab diffère d'un paquet à l'autre, mais ils
-supportent tous le même ensemble de commandes de base&nbsp;: ajouter et
+La procédure d'édition de la crontab diffère d'un paquet à l'autre, mais ils
+acceptent tous le même ensemble de commandes de base&nbsp;: ajouter et
 remplacer des crontabs, éditer des crontabs, supprimer des crontabs et lister
 les tâches des crontabs. La liste suivante vous montre comment procéder pour
 chaque paquet.
@@ -384,10 +387,10 @@
 <table>
 <tr>
   <th>Version</th>
-  <th>Éditer le crontab</th>
-  <th>Supprimer le crontab</th>
-  <th>Nouveau crontab</th>
-  <th>Lister le crontab</th>
+  <th>Éditer la crontab</th>
+  <th>Supprimer la crontab</th>
+  <th>Nouvelle crontab</th>
+  <th>Lister le contenu de la crontab</th>
 </tr>
 <tr>
   <ti>dcron</ti>
@@ -413,7 +416,7 @@
 </table>
 
 <note>
-Si vous ne spécifiez pas d'utilisateur pour supprimer le crontab, il supprimera
+si vous ne spécifiez pas d'utilisateur pour supprimer la crontab, il supprimera
 celle de l'utilisateur courant.
 </note>
 
@@ -423,7 +426,7 @@
 
 <p>
 Avant de pouvoir utiliser ces commandes, vous devez d'abord comprendre comment
-fonctionne le crontab elle-même. Chaque ligne d'une crontab doit spécifier cinq
+fonctionne la crontab elle-même. Chaque ligne d'une crontab doit spécifier cinq
 champs temporels dans l'ordre suivant&nbsp;: les minutes (0-59), les heures
 (0-59), les jours du mois (1-31), les mois (1-12) et les jours de la semaine
 (0-7, lundi étant 1 et dimanche étant 0 ou 7). Les jours de la semaine et les
@@ -439,7 +442,7 @@
 verrez que ce n'est pas si compliqué.
 </p>
 
-<pre caption="Exemples">
+<pre caption="exemples">
 <comment># Lance /bin/false à chaque minute, toute l'année</comment>
 *     *     *     *     *        /bin/false
 
@@ -454,7 +457,7 @@
 </pre>
 
 <note>
-Remarquez bien que vous devez spécifier les jours de la semaine et les jours du
+remarquez bien que vous devez spécifier les jours de la semaine et les jours du
 mois pour qu'ils soient combinés. Si vous mettez * pour l'un des deux champs,
 uniquement l'autre sera pris en compte. Enfin, si vous mettez * pour les deux,
 la tâche sera exécutée tous les jours.
@@ -466,7 +469,7 @@
 <path>crons.cron</path> et faites-le ressembler à ceci&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Éditer crons.cron">
+<pre caption="éditer crons.cron">
 # <i>nano crons.cron</i>
 <comment>#Min.  Heures Jours  Mois    JourSemaine</comment>
 10     3      1      1       *       /bin/echo "je n'aime pas vraiment cron"
@@ -475,25 +478,25 @@
 </pre>
 
 <p>
-Nous pouvons maintenant ajouter ce crontab au système grâce à la
+Nous pouvons maintenant ajouter cette crontab au système grâce à la
 «&nbsp;commande de création&nbsp;» que nous avons vue précédemment.
 </p>
 
-<pre caption="Un nouveau crontab">
+<pre caption="une nouvelle crontab">
 # <i>crontab crons.cron</i>
 </pre>
 
 <note>
-Vous ne verrez pas les sorties des «&nbsp;echo&nbsp;» que nous avons programmés
+vous ne verrez pas les sorties des «&nbsp;echo&nbsp;» que nous avons programmés
 tant que vous n'utiliserez pas de redirection.
 </note>
 
 <p>
 Pour vérifier que les tâches ont été correctement prises en compte, nous
-utiliserons la «&nbsp;commande pour lister&nbsp;».
+utiliserons la commande <c>crontab -l</c> pour les lister.
 </p>
 
-<pre caption="Lister les tâches planifiées">
+<pre caption="lister les tâches planifiées">
 # <i>crontab -l</i>
 </pre>
 
@@ -504,16 +507,16 @@
 </p>
 
 <p>
-Ce crontab doit afficher «&nbsp;cron c'est de la balle&nbsp;!&nbsp;» à chaque
+Cette crontab doit afficher «&nbsp;cron c'est de la balle&nbsp;!&nbsp;» à chaque
 minute de chaque heure de chaque jour de chaque mois impair. Évidemment, vous
-n'avez à faire ceci que si vous aimez vraiment cron. Le crontab fera également
+n'avez à faire ceci que si vous aimez vraiment cron. La crontab fera également
 afficher «&nbsp;j'aime un peu cron&nbsp;» chaque jour de janvier et février à
 16h30 et «&nbsp;je n'aime pas vraiment cron&nbsp;» le premier janvier à 3h10.
 </p>
 
 <p>
 Si vous utilisez Anacron, continuez à lire cette section. Sinon, vous pouvez
-passer à la section suivante, «&nbsp;<uri link="#editing">Éditer le
+passer à la section suivante, «&nbsp;<uri link="#editing">Éditer la
 crontab</uri>&nbsp;».
 </p>
 
@@ -543,48 +546,48 @@
 </body>
 </section>
 <section id="editing">
-<title>Éditer le crontab</title>
+<title>Éditer la crontab</title>
 <body>
 
 <p>
 À présent, soyons un peu réalistes. Vous n'avez certainement pas besoin que
 votre système vous rappelle chaque minute à quel point vous aimez cron. Afin
-d'avancer, nous allons enlever ce crontab en utilisant la «&nbsp;commande de
+d'avancer, nous allons enlever cette crontab en utilisant la «&nbsp;commande de
 suppression&nbsp;» vue précédemment et nous listerons ensuite les tâches pour
 nous assurez que cela a marché.
 </p>
 
-<pre caption="Supprimer et lister le crontab">
+<pre caption="supprimer et lister le contenu de la crontab">
 # <i>crontab -d</i>
 # <i>crontab -l</i>
 </pre>
 
 <p>
 Vous ne devriez pas voir de tâche listée par <c>crontab -l</c>. Si ce n'est pas
-le cas, c'est que nous n'avons pas réussi à retirer le crontab. Assurez-vous
+le cas, c'est que nous n'avons pas réussi à retirer la crontab. Assurez-vous
 d'avoir utilisé la bonne «&nbsp;commande de suppression&nbsp;» appropriée pour
 votre paquet.
 </p>
 
 <p>
-Maintenant que tout est propre, mettons quelque chose d'utile dans le crontab de
+Maintenant que tout est propre, mettons quelque chose d'utile dans la crontab de
 <b>root</b>. La plupart des gens voudraient lancer <c>updatedb</c>
-hebdomadairement pour être s'assurer que <c>slocate</c> fonctionne correctement.
+hebdomadairement pour être s'assurer que <c>mlocate</c> fonctionne correctement.
 Pour ajouter ça à votre crontab, commencez par ouvrir le fichier
 <path>crons.cron</path> et faites-le ressembler à ceci&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Un vrai crontab">
+<pre caption="une vraie crontab">
 22 2 * * 1    /usr/bin/updatedb
 </pre>
 
 <p>
 Cela aura pour effet de lancer <c>updatedb</c> tous les lundis matins à 2h22.
-Insérons maintenant ce crontab avec la «&nbsp;commande de création&nbsp;» vue
+Insérons maintenant cette crontab avec la «&nbsp;commande de création&nbsp;» vue
 précédemment et vérifions notre travail.
 </p>
 
-<pre caption="Lister les tâches cron">
+<pre caption="lister les tâches cron">
 # <i>crontab crons.cron</i>
 # <i>crontab -l</i>
 </pre>
@@ -595,11 +598,11 @@
 <path>crons.cron</path> puis en faisant <c>crontab crons.cron</c> comme nous
 l'avons fait précédemment, mais vous pouvez également utiliser la
 «&nbsp;commande d'édition&nbsp;» appropriée vue dans le tableau plus haut. Cela
-vous donne la possibilité d'éditer le crontab de votre utilisateur sans devoir
+vous donne la possibilité d'éditer la crontab de votre utilisateur sans devoir
 utiliser un fichier externe comme <path>crons.cron</path>.
 </p>
 
-<pre caption="Éditer directement un crontab">
+<pre caption="éditer directement une crontab">
 # <i>crontab -e</i>
 </pre>
 
@@ -609,7 +612,7 @@
 donnerait&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Une vraie crontab">
+<pre caption="une vraie crontab">
 22 2 * * 1    /usr/bin/updatedb
 30 6 * * *    /usr/bin/emerge --sync
 <comment>(Si vous utilisez anacron, ajoutez cette ligne :)</comment>
@@ -634,11 +637,11 @@
 Comme nous l'avons mentionné plus haut, tous les paquets cron disponibles
 dépendent de <c>sys-process/cronbase</c>. Le paquet cronbase crée les fichiers
 <path>/etc/cron.{hourly,daily,weekly,monthly}</path> ainsi qu'un script appelé
-<c>run-crons</c>. Vous noterez que le crontab système par défaut
+<c>run-crons</c>. Vous noterez que la crontab système par défaut
 (<path>/etc/crontab</path>) contient ces lignes&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Crontab système par défaut">
+<pre caption="crontab système par défaut">
 */15 * * * *     test -x /usr/sbin/run-crons &amp;&amp; /usr/sbin/run-crons
 0  *  * * *      rm -f /var/spool/cron/lastrun/cron.hourly
 0  3  * * *      rm -f /var/spool/cron/lastrun/cron.daily
@@ -658,7 +661,7 @@
     auraient dues être lancées.
   </li>
   <li>
-    La possibilité de mettre un script dans un tel endroit bien défini facilite
+    La possibilité de mettre un script dans un endroit bien défini facilite
     la vie des mainteneurs d'applications.
   </li>
   <li>
@@ -668,9 +671,9 @@
 </ul>
 
 <note>
-Encore une fois, nous rappelons que Vixie Cron et bcron lisent automatiquement
+encore une fois, nous rappelons que Vixie Cron et bcron lisent automatiquement
 <path>/etc/crontab</path>, ce qui n'est pas le cas de dcron et fcron. Veuillez
-vous reporter à la section «&nbsp;<uri link="#systemtab">Le crontab du
+vous reporter à la section «&nbsp;<uri link="#systemtab">La crontab du
 système</uri>&nbsp;» pour en lire plus à ce sujet.
 </note>
 



1.59                 xml/htdocs/doc/fr/faq.xml

file : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/faq.xml?rev=1.59&view=markup
plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/faq.xml?rev=1.59&content-type=text/plain
diff : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/faq.xml?r1=1.58&r2=1.59

Index: faq.xml
===================================================================
RCS file: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/faq.xml,v
retrieving revision 1.58
retrieving revision 1.59
diff -u -r1.58 -r1.59
--- faq.xml	29 Aug 2011 11:00:02 -0000	1.58
+++ faq.xml	1 Jun 2013 07:51:36 -0000	1.59
@@ -1,5 +1,5 @@
 <?xml version='1.0' encoding="UTF-8"?>
-<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/faq.xml,v 1.58 2011/08/29 11:00:02 cam Exp $ -->
+<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/faq.xml,v 1.59 2013/06/01 07:51:36 swift Exp $ -->
 
 <!DOCTYPE guide SYSTEM "/dtd/guide.dtd">
 
@@ -48,6 +48,10 @@
 <author title="Correcteur">
   <mail link="clement@×××××××.org">Clément Varaldi</mail>
 </author>
+<author title="Traducteur">Guillaume Morin</author>
+<author title="Traducteur">
+  <mail link="jaaf.forums@××××××××.com">José Fournier</mail>
+</author>
 
 <abstract>
 Cette FAQ est un ensemble de questions et réponses collectées à partir de la
@@ -57,8 +61,8 @@
 <!-- See http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.5 -->
 <license/>
 
-<version>3.13</version>
-<date>2008-10-25</date>
+<version>11</version>
+<date>2012-12-09</date>
 
 <faqindex>
 <title>Liste des questions</title>
@@ -71,8 +75,7 @@
 documentation et les guides officiels Gentoo. Cette liste n'est qu'une liste des
 questions les plus fréquemment posées. Merci de lire la documentation et/ou les
 pages de manuel pour plus d'informations sur comment Gentoo et GNU/Linux
-fonctionnent, et pour répondre aux questions dont vous ne trouverez pas la
-réponse ici.
+fonctionnent, et pour trouver une réponse aux questions qui restent sans réponse ici.
 </p>
 
 </body>
@@ -183,29 +186,29 @@
 
 <p>
 La commande <c>adduser nouvelUtilisateur</c> va ajouter un utilisateur appelé
-nouvelUtilisateur. Cela dit cette méthode ne permet pas de donner à
+<e>nouvelUtilisateur</e>. Cela dit cette méthode ne permet pas de donner à
 l'utilisateur tous les droits que vous souhaiteriez lui donner. Il est donc
 préférable d'utiliser la commande suivante&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Ajouter un utilisateur">
+<pre caption="ajouter un utilisateur">
 # <i>useradd -m -G users,audio,wheel -s /bin/bash nouvelUtilisateur</i>
 </pre>
 
 <p>
-Cette commande ajoute un utilisateur nommé nouvelUtilisateur. L'option
+Cette commande ajoute un utilisateur nommé <e>nouvelUtilisateur</e>. L'option
 <c>audio</c> l'ajoute au groupe <c>audio</c>, ce qui lui donne accès aux
 périphériques de son. L'option <c>wheel</c> ajoute l'utilisateur au groupe
 <c>wheel</c> qui lui permettra de passer en mode superutilisateur avec la
 commande <c>su</c>.
 </p>
-
+<!--
 <p>
 Vous pouvez aussi installer <c>superadduser</c> en faisant <c>emerge
 superadduser</c> et ensuite <c>superadduser gentoo</c> pour ajouter
 l'utilisateur gentoo. Suivez les intructions affichées par
 <c>superadduser</c>.
-</p>
+</p>-->
 
 </body>
 </section>
@@ -221,7 +224,7 @@
 suivante en tant que root&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Ajouter un utilisateur au groupe wheel">
+<pre caption="ajouter un utilisateur au groupe wheel">
 # <i>gpasswd -a username wheel</i>
 </pre>
 
@@ -246,7 +249,9 @@
 Vous pourrez trouver plus d'informations dans notre <uri
 link="/doc/fr/gentoo-upgrading.xml">guide de mise à jour de Gentoo</uri>.
 </p>
-
+<p>
+Notez aussi que la commande <c>emerge -uDN world</c> met à jour les paquets que vous avez installés ainsi que leurs dépendances, mais pas les dépendances de compilation (celles qui sont nécessaires au moment de la compilation mais pas une fois le paquet installé). Pour mettre ces dépendances à jour elles aussi, ajoutez l'option  <c>--with-bdeps=y</c> à la commande de mise à jour.
+</p>
 </body>
 </section>
 <section id="bootrescue">
@@ -256,19 +261,19 @@
 <p>
 Il n'est pas nécessaire de refaire toute l'installation, mais il vous faudra
 analyser les étapes de compilation de votre noyau. Supposons que vous ayez
-installé Gentoo avec les partitions <path>/dev/hda1</path> (/boot),
-<path>/dev/hda3</path> (/) et <path>/dev/hda2</path> pour la mémoire
+installé Gentoo avec les partitions <path>/dev/sda1</path> (/boot),
+<path>/dev/sda3</path> (/) et <path>/dev/sda2</path> pour la mémoire
 virtuelle.
 </p>
 
-<pre caption = "Reconfigurer le noyau">
+<pre caption = "reconfigurer le noyau">
 <comment>Démarrez sur le CD-ROM d'installation et attendez l'invite.</comment>
 <comment>Montez les partitions :</comment>
-# <i>mount /dev/hda3 /mnt/gentoo</i>
-# <i>mount /dev/hda1 /mnt/gentoo/boot</i>
-# <i>swapon /dev/hda2</i>
+# <i>mount /dev/sda3 /mnt/gentoo</i>
+# <i>mount /dev/sda1 /mnt/gentoo/boot</i>
+# <i>swapon /dev/sda2</i>
 # <i>mount -t proc none /mnt/gentoo/proc</i>
-<comment>Entrez dans l'environnement chroot et configurez le noyau :</comment>
+<comment>Changez la racine de votre environnement actif (chroot) et configurez le noyau :</comment>
 # <i>chroot /mnt/gentoo /bin/bash</i>
 # <i>env-update &amp;&amp; source /etc/profile</i>
 # <i>cd /usr/src/linux</i>
@@ -299,10 +304,10 @@
 
 <p>
 Pour que Portage utilise ces options, indiquez-les dans
-<path>/etc/make.conf</path>&nbsp;:
+<path>/etc/portage/make.conf</path>&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption = "Configurer le serveur mandataire dans /etc/make.conf">
+<pre caption = "configurer le serveur mandataire dans /etc/portage/make.conf">
 http_proxy="http://utilisateur:motdepasse@×××××××××××××××××.org:port"
 ftp_proxy="ftp://utilisateur:motdepasse@×××××××××××××××××.org:port"
 RSYNC_PROXY="rsync://utilisateur:motdepasse@×××××××××××××××××.org:port"
@@ -311,7 +316,7 @@
 </body>
 </section>
 <section id="isoburning">
-<title>Comment puis-je graver un CD de Gentoo&nbsp;?</title>
+<title>Comment puis-je graver une image ISO de Gentoo&nbsp;?</title>
 <body>
 
 <p>
@@ -340,7 +345,7 @@
   </li>
   <li>
     Avec cdrecord, vous devez simplement tapez la commande <c>cdrecord
-    dev=/dev/hdc nom_du_fichier.iso</c> en remplaçant <path>/dev/hdc</path> par
+    dev=/dev/sdc nom_du_fichier.iso</c> en remplaçant <path>/dev/sdc</path> par
     le fichier de périphérique de votre graveur.
   </li>
   <li>
@@ -365,18 +370,18 @@
 </body>
 </section>
 <section id="cpus">
-<title>Quel CD ou «&nbsp;stage&nbsp;» convient à mon processeur&nbsp;?</title>
+<title>Quel CD ou  archive d'étape (stage) convient à mon processeur&nbsp;?</title>
 <body>
 
 <p>
 Vous devez d'abord déterminer quel processeur vous utilisez. Supposons que ce
 soit un Pentium-M. Ensuite, vous devez déterminer quel jeu d'instructions il
-supporte. Le site du constructeur peut vous aider, mais <uri
+prend en charge. Le site du constructeur peut vous aider, mais <uri
 link="http://www.google.com">Google</uri> est aussi très efficace.
 </p>
 
 <p>
-Si vous n'êtes pas sûr, choisissez une image de CD-ROM ou un stage plus
+Si vous n'êtes pas sûr, choisissez une image de CD-ROM ou une archive d'étape (stage) plus
 générique, par exemple un i686 ou même un x86, plus générique (pour son
 équivalent dans l'architecture souhaitée). Cela permettra à votre système de
 fonctionner, mais il ne sera probablement pas aussi rapide que si vous
@@ -385,15 +390,12 @@
 
 <p>
 Notez bien qu'il existe bien d'autres options que celles qui sont utilisées par
-Gentoo pour produire les «&nbsp;stages&nbsp;». Lisez notamment le <uri
+Gentoo pour produire les <e>archives d'étape</e>. Lisez notamment le <uri
 link="http://gcc.gnu.org/onlinedocs/gcc-3.4.4/gcc/i386-and-x86_002d64-Options.html#i386-and-x86_002d64-Options">guide
 gcc</uri> pour la configuration de <c>-march</c>.
 </p>
 
-<p>
-Dans le doute, veuillez utiliser un «&nbsp;stage&nbsp;» ou un CD plus générique
-tel que les versions pour i686, voire pour x86.
-</p>
+
 
 </body>
 </section>
@@ -408,19 +410,17 @@
 (pour certaines cartes réseau WiFi). Vous devrez probablement charger des
 modules noyau spécifiques pour que le noyau détecte correctement votre carte
 réseau. Si c'est le cas, assurez-vous que ces modules noyau sont listés dans
-<path>/etc/modules.autoload.d/kernel-2.6</path> (ou <path>kernel-2.4</path> si
-vous utilisez encore un noyau 2.4).
+<path>/etc/conf.d/modules</path>.
 </p>
 
 <p>
-Si vous avez oublié d'inclure le support de votre carte réseau dans votre noyau,
+Si vous avez oublié d'inclure la prise en charge de votre carte réseau dans votre noyau,
 vous aurez besoin de reconfigurer votre noyau.
 </p>
 
 <p>
 Si votre carte réseau est bien détectée par votre noyau, mais que vous avez
-oublié d'indiquer que votre configuration utilise le DHCP, vous aurez
-probablement également oublié d'installer <c>dhcpcd</c>. Vous devrez redémarrer
+configuré votre système pour utiliser DHCP, il se peut que vous ayez oublié d'installer <c>dhcpcd</c>. Vous devrez redémarrer
 sur le CD-ROM d'installation pour installer <c>dhcpcd</c>.
 </p>
 
@@ -443,12 +443,12 @@
 le premier disque dur et affiche un écran noir. La solution est de faire croire
 à Windows qu'il est bien sur le premier disque grâce à une petite astuce de
 votre chargeur de démarrage. Dans les exemples ci-dessous, Gentoo est installé
-sur <path>hda</path> (le premier disque) et Windows sur <path>hdb</path> (le
+sur <path>sda</path> (le premier disque) et Windows sur <path>sdb</path> (le
 second). N'oubliez pas de modifier les noms de disques en fonction de votre
 installation.
 </p>
 
-<pre caption="Exemple pour grub.conf">
+<pre caption="exemple pour grub.conf">
 title Windows XP
      map (hd1) (hd0)
      map (hd0) (hd1)
@@ -457,9 +457,9 @@
 </pre>
 
 <pre caption="Exemple pour lilo.conf">
-other=/dev/hdb1
+other=/dev/sdb1
      label=WindowsXP
-     table=/dev/hdb
+     table=/dev/sdb
      map-drive = 0x80
      to = 0x81
      map-drive = 0x81
@@ -476,30 +476,27 @@
 </body>
 </section>
 <section id="stage12">
-<title>Comment puis-je installer Gentoo à partir d'un stage1 ou
-stage2&nbsp;?</title>
+<title>Comment puis-je installer Gentoo à partir d'une archive d'étape 1 ou 2&nbsp;?</title>
 <body>
 
 <p>
-Le Manuel Gentoo ne couvre que l'installation à partir d'un
-«&nbsp;stage3&nbsp;». Cependant, les stage1 et stage2 sont encore disponibles,
+Le Manuel Gentoo ne couvre que l'installation à partir d'une archive d'étape 3 (stage3). Cependant, les achive d'étape 1 et 2 sont encore disponibles,
 essentiellement pour des développeurs. Les responsables des sorties de
-nouvelles versions de Gentoo partent d'un stage1 pour arriver au stage3. Un
-utilisateur ne devrait pas utiliser ces stage1 et stage2, car un stage3 est
-tout à fait adapté pour réaliser le bootstrap de votre machine. Il vous suffit
-d'avoir une connexion au Net.
+nouvelles versions de Gentoo partent d'une archive d'étape 1 pour arriver à l'étape 3. Un
+utilisateur ne devrait pas utiliser ces archives d'étape 1 et 2, car une archive d'étape 3 est
+tout à fait adaptée pour réaliser le <e>bootstrapping</e> de votre machine. Il vous suffit
+d'avoir une connexion à Internet.
 </p>
 
 <p>
-Le «&nbsp;bootstrapping&nbsp;» est l'opération qui consiste à compiler toute la
+Le <e>bootstrapping</e> est l'opération qui consiste à compiler toute la
 chaîne de compilation elle-même (la bibliothèque C et le compilateur) avant de
 procéder à l'installation de tous les paquets qui forment le cœur de votre
-système. Pour effectuer le bootstrap, faites une installation à partir d'un
-stage3. Avant de passer à la <e>configuration du noyau</e>, adaptez le script
+système. Pour effectuer le <e>bootstrap</e>, faites une installation à partir d'une archive d'étape 3. Avant de passer à la <e>configuration du noyau</e>, adaptez le script
 <path>bootstrap.sh</path> à vos besoins et exécutez-le ensuite&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Procéder au bootstrapping du système">
+<pre caption="procéder au bootstrapping du système">
 # <i>cd /usr/portage/scripts</i>
 # <i>vi bootstrap.sh</i>
 
@@ -508,10 +505,10 @@
 
 <p>
 Ensuite, recompilez tous les paquets avec les outils de compilation que vous
-venez de recompiler&nbsp;:
+venez de recompiler&nbsp;. La recompilation des paquets est nécessaire car une archive d'étape 3 les contient déjà.
 </p>
 
-<pre caption="Recompiler les paquets du système">
+<pre caption="recompiler les paquets du système">
 # <i>emerge -e system</i>
 </pre>
 
@@ -532,7 +529,7 @@
 <body>
 
 <p>
-Les paquets ne sont pas «&nbsp;stockés&nbsp;» en tant que tels. Au lieu de ça,
+Les paquets en eux-mêmes ne sont pas <e>stockés</e>. Au lieu de ça,
 Gentoo propose un ensemble de scripts qui permettent la résolution des
 problèmes de dépendance, la récupération du code source, et la compilation de
 la version du paquet dont vous avez besoin. Nous ne préparons en général des
@@ -568,8 +565,8 @@
 où la méthode décrite ici nécessite une bonne connaissance du fonctionnement
 interne de Portage et de ses commandes, il vous est plutôt recommandé de
 corriger l'ebuild du paquet en question pour qu'il fasse ce que vous
-souhaitez, puis que vous le placiez dans l'«&nbsp;overlay&nbsp;» de Portage
-(c'est pourquoi les surcouches existent). Cette méthode est largement
+souhaitez, puis que vous le placiez dans un arbre alternatif (surcouche) pour  Portage
+(c'est pourquoi les arbres alternatifs existent). Cette méthode est largement
 préférable à la compilation manuelle pour des raisons de maintenance et de
 facilité d'exécution. L'ebuild fait simplement <c>./configure</c> et <c>make
 &amp;&amp; make install</c>. Lisez l'ebuild pour vous en assurer. Lisez le <uri
@@ -641,7 +638,7 @@
 Vous pouvez utiliser le script <c>eclean</c> disponible dans le paquet
 <c>app-portage/gentoolkit</c> pour gérer le contenu du dossier
 <path>/usr/portage/distfiles/</path> et de plusieurs autres emplacements.
-Consultez le <c>man eclean</c> pour en savoir plus.
+Consultez le <c>man eclean</c>, ainsi que le <uri link="/doc/fr/gentoolkit.xml">guide de Gentoolkit </uri>, pour en savoir plus.
 </p>
 
 </body>
@@ -680,7 +677,7 @@
 keymaps&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Relancer le script keymaps">
+<pre caption="relancer le script keymaps">
 # <i>/etc/init.d/keymaps restart</i>
 # <i>/etc/init.d/consolefont restart</i>
 </pre>
@@ -692,10 +689,10 @@
 <body>
 
 <p>
-Les permissions de <path>/etc/resolv.conf</path> sont mauvaises.
+Les permissions de <path>/etc/resolv.conf</path> sont mauvaises. Changez-les comme indiqué ci-dessous&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Définir les permissions de /etc/resolv.conf">
+<pre caption="définir les permissions de /etc/resolv.conf">
 # <i>chmod 0644 /etc/resolv.conf</i>
 </pre>
 
@@ -740,7 +737,7 @@
 <path>~/.bash_logout</path>&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Effacer le texte à la fermeture d'une session">
+<pre caption="effacer le texte à la fermeture d'une session">
 $ <i>echo clear &gt;&gt; ~/.bash_logout</i>
 </pre>
 
@@ -749,7 +746,7 @@
 créerez, ajoutez la même ligne dans <path>/etc/skel/.bash_logout</path>&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption = "Effacer le texte à la fermeture par défaut pour les nouveaux utilisateurs">
+<pre caption = "effacer le texte à la fermeture par défaut pour les nouveaux utilisateurs">
 # <i>echo clear &gt;&gt; /etc/skel/.bash_logout</i>
 </pre>
 
@@ -816,7 +813,7 @@
 ci-dessous&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Supprimer les bips">
+<pre caption="supprimer les bips">
 # <i>setterm -blength 0</i>
 </pre>
 
@@ -828,7 +825,7 @@
 «&nbsp;pipe&nbsp;» vers le terminal de destination, comme ceci&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Supprimer les bips de façon permanente">
+<pre caption="supprimer les bips de façon permanente">
 # <i>setterm -blength 0 >/dev/vc/1</i>
 </pre>
 
@@ -861,16 +858,12 @@
 <body>
 
 <p>
-Oui&nbsp;! Des CD-ROM d'installation pour toutes les architectures supportées
-sont disponibles dans <uri link="http://store.gentoo.org/">la boutique
-Gentoo</uri>. Chaque vente de CD-ROM permet de faire avancer le développement
-de Gentoo. Si vous voulez nous aider, commandez vos CD-ROM Gentoo directement
-chez nous dans la mesure du possible.
+Si vous ne pouvez pas télécharger et graver un CD d'installation vous-même, vous pourriez en obtenir un dans nos boutiques sous license. Cependant, beaucoup de boutiques ont cessé de les vendre car ces médias deviennent rapidement obsolètes.
 </p>
 
 <p>
-De plus, des CD sont disponibles chez de nombreux vendeurs. Vous trouverez une
-liste sur notre page <uri link="/main/en/where.xml">Get Gentoo!</uri>.
+Vous trouverez une
+liste des boutiques sous license sur notre page <uri link="/main/en/where.xml">Get Gentoo!</uri>.
 </p>
 
 </body>



1.20                 xml/htdocs/doc/fr/gentoo-amd64-faq.xml

file : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoo-amd64-faq.xml?rev=1.20&view=markup
plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoo-amd64-faq.xml?rev=1.20&content-type=text/plain
diff : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoo-amd64-faq.xml?r1=1.19&r2=1.20

Index: gentoo-amd64-faq.xml
===================================================================
RCS file: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoo-amd64-faq.xml,v
retrieving revision 1.19
retrieving revision 1.20
diff -u -r1.19 -r1.20
--- gentoo-amd64-faq.xml	29 Aug 2011 11:00:02 -0000	1.19
+++ gentoo-amd64-faq.xml	1 Jun 2013 07:51:36 -0000	1.20
@@ -1,6 +1,6 @@
 <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
 <!DOCTYPE guide SYSTEM "/dtd/guide.dtd">
-<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoo-amd64-faq.xml,v 1.19 2011/08/29 11:00:02 cam Exp $ -->
+<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoo-amd64-faq.xml,v 1.20 2013/06/01 07:51:36 swift Exp $ -->
 
 <guide lang="fr">
 <title>Foire Aux Questions Gentoo Linux/AMD64</title>
@@ -23,18 +23,21 @@
 <author title="Traducteur">
   <mail link="titefleur"/>
 </author>
+<author title="Traducteur">
+  <mail link="jaa.forums@××××××××.com">José Fournier</mail>
+</author>
+
 
 <abstract>
-Cette FAQ spécifique à Gentoo/AMD64 est un ensemble de questions et réponses
-collectées à partir de la liste de diffusion gentoo-dev et à partir d'IRC.
+Cette FAQ spécifique à Gentoo/AMD64 est un ensemble de questions et réponses collectées à partir de la liste de diffusion gentoo-dev et à partir d'IRC.
 </abstract>
 
 <!-- The content of this document is licensed under the CC-BY-SA license -->
 <!-- See http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.5 -->
 <license/>
 
-<version>1.27</version>
-<date>2009-06-18</date>
+<version>6</version>
+<date>2013-01-13</date>
 
 <faqindex>
 <title>Questions</title>
@@ -60,35 +63,31 @@
 <body>
 
 <p>
-Les deux se réfèrent aux processeurs 64 bits AMD (AMD64) et Intel (EM64T). Les
-processeurs 64 bits AMD incluent les familles Athlon 64, Turion, Neo, Phenom,
-et Opteron. Les processeurs 64 bits Intel incluent les Core2, Core i<e>X</e>,
+Les deux se réfèrent aux processeurs 64 bits d'AMD (AMD64) et d'Intel (EM64T). Les
+processeurs 64 bits d'AMD incluent les familles Athlon 64, Turion, Neo, Phenom,
+et Opteron. Les processeurs 64 bits d'Intel incluent les Core2, Core i<e>X</e>,
 Celeron, Xeon, et Pentium (tous basés sur une architecture Core2). Les <uri
 link="http://en.wikipedia.org/wiki/Em64t#Intel_64">dernières versions</uri> des
-anciens Pentium 4 et des processeurs Xeon sont également supportées.
+anciens Pentium 4 et des processeurs Xeon  adoptent la technologie EM64T.
 </p>
 
 <p>
 Les processeurs AMD 64 bits sont sortis bien avant l'offre d'Intel. Par
 conséquent, pour des raisons historiques, le mot clé de l'architecture pour
-toutes les architectures compatibles x86-64 est «&nbsp;amd64&nbsp;». En tant
-que tel, <e>AMD64</e> est une référence générique pour les processeurs 64 bits,
-aussi bien AMD qu'Intel.
+toutes les architectures compatibles x86-64 est <e>amd64</e>. En tant
+que telle, <e>AMD64</e> est une référence générique pour les processeurs 64 bits, qu'ils proviennent d'AMD ou d'Intel.
 </p>
 
 </body>
 </section>
 <section id="cflags">
-<title>Quels CFLAGS dois-je utiliser pour AMD64/EM64T&nbsp;?</title>
+<title>Quelles variables d'environnement pour la compilation (CFLAGS) dois-je utiliser pour AMD64/EM64T&nbsp;?</title>
 <body>
 
 <p>
 Vous devriez utiliser des <c>CFLAGS</c> simples pour éviter des problèmes
-ultérieurs. Les <c>CFLAGS</c> supportées sont <c>-O2 -march=k8 -pipe</c> pour
-les systèmes AMD. Les systèmes Intel basés sur les Core2 (EM64T) devraient
-plutôt être configurés avec les paramètres <c>-O2 -march=core2 -pipe</c>. Si
-vous possédez un ancien Intel Pentium 4 qui supporte EM64T, alors utilisez les
-paramètres <c>-O2 -march=nocona -pipe</c>.
+ultérieurs. Les <c>CFLAGS</c> acceptés sont <c>CFLAGS</c> are <c>-O2 -march=native -pipe</c> aussi bien pour
+les systèmes AMD que pour les systèmes Intel (EM64T).
 </p>
 
 </body>
@@ -104,16 +103,13 @@
 conséquent le seul noyau supporté officiellement par Gentoo/AMD64.
 </p>
 
-<warn>
-Méfiez-vous de certains fonctionnalités qui sont moins bien testées telles que
-<c>PREEMPT</c>.
-</warn>
+
 
 <p>
 Vérifiez que l'option <c>IA32_EMULATION</c> est activée dans le noyau.
 </p>
 
-<pre caption="Activer l'émulation IA32 dans les sources du noyau">
+<pre caption="activer l'émulation IA32 dans les sources du noyau">
 # <i>cd /usr/src/linux</i>
 # <i>make menuconfig</i>
 
@@ -122,7 +118,7 @@
 </pre>
 
 <warn>
-Vos compilations pourraient échouer sur les systèmes multilib si vous
+vos compilations pourraient échouer sur les systèmes multilib si vous
 désactivez cette option.
 </warn>
 
@@ -143,9 +139,8 @@
 utilisées par les applications multimédias et de rendu 3D. Cet <uri
 link="http://www.linux.com/articles/114024?tid=121">article</uri> ainsi que cet
 <uri link="http://www.linux.com/feature/43873">article connexe</uri> pourraient
-vous intéresser. Il y a également une chouette <uri
-link="http://forums.gentoo.org/viewtopic-t-349691.html">discussion</uri> dans
-nos <uri link="http://forums.gentoo.org">forums</uri> à ce sujet.
+vous intéresser. Il y a également une  <uri
+link="http://forums.gentoo.org/viewtopic-t-349691.html">discussion </uri>  intéressante dans nos <uri link="http://forums.gentoo.org">forums</uri> à ce sujet.
 </p>
 
 </body>
@@ -155,17 +150,15 @@
 <body>
 
 <p>
-Tous les processeurs AMD64 sont capables d'exécuter du code aussi bien 32 bits
-que 64 bits. Cependant, pour utiliser une application 32 bits, il est
-nécessaire de disposer de toutes les bibliothèques partagées dont elle a besoin
-en version 32 bits, car il n'est pas possible de mélanger du code 32 bits et 64
+Tous les processeurs AMD64 sont capables d'exécuter du code aussi bien en 32 bits
+qu'en 64 bits. Cependant, pour utiliser une application en 32 bits, il est
+nécessaire de disposer de toutes les bibliothèques partagées dont elle a besoin dans leur  version 32 bits, car il n'est pas possible de mélanger du code en 32 bits et du code en 64
 bits au sein d'une même application. Vous pouvez choisir un environnement
-multilib ou pas en sélectionnant le profil correspondant. Le profil par défaut
-utilise multilib.
+multilib ou pas en sélectionnant le profil correspondant. Le profil par défaut utilise multilib.
 </p>
 
 <warn>
-Pour le moment vous ne pouvez pas basculer d'un profil non-multilib à un profil
+pour le moment vous ne pouvez pas basculer d'un profil non-multilib à un profil
 multilib, donc réfléchissez-y à deux fois avant d'utiliser un profil
 non-multilib.
 </warn>
@@ -192,7 +185,7 @@
 <p>
 Des différences importantes entre des installations <c>x86</c> et <c>amd64</c>
 rendent ce type de mise à jour impossible. Une nouvelle installation est
-requise. Veuillez utiliser le <uri
+requise. Compte tenu des différences par rapport à une installation x86, veuillez vous reporter au <uri
 link="/doc/fr/handbook/handbook-amd64.xml">Manuel AMD64</uri>.
 </p>
 
@@ -246,15 +239,15 @@
 noyau&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Options du noyau pour Cool'n'Quiet/Powernow/SpeedStep">
+<pre caption="options du noyau pour Cool'n'Quiet/Powernow/SpeedStep">
 Power management options ---&gt;
-  [*] Power Management support
+  [*] Run-time PM core functionality
   [*] ACPI (Advanced Configuration and Power Interface) Support ---&gt;
     &lt;*&gt;   Processor
     &lt;*&gt;     Thermal Zone
-CPU Frequency scaling ---&gt;
+  CPU Frequency scaling ---&gt;
   [*] CPU Frequency scaling
-        Default CPUFreq governor (ondemand) ---&gt;
+         Default CPUFreq governor (ondemand) ---&gt;
   -*-   'performance' governor
   &lt;*&gt;   'userspace' governor for userspace frequency scaling
   -*-   'ondemand' cpufreq policy governor
@@ -269,7 +262,7 @@
 préféré&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Exemple de /etc/conf.d/cpufrequtils">
+<pre caption="exemple de /etc/conf.d/cpufrequtils">
 # Options pour le démarrage de cpufreq (données par la commande 'cpufreq-set')
 START_OPTS="--governor ondemand"
 
@@ -278,14 +271,14 @@
 </pre>
 
 <p>
-Finalement, exécutez <c>rc-update add cpufrequtils default</c> pour lancer
+Finalement, exécutez <c>rc-update add cpufrequtils boot</c> pour lancer
 cpufrequtils automatiquement au démarrage de votre PC.
 </p>
 
 <note>
-Vous pouvez lire le <uri
+vous pouvez lire le <uri
 link="/doc/fr/power-management-guide.xml#doc_chap3">Guide de gestion de
-l'alimentation</uri> pour plus de conseils sur la gestion de l'alimentation
+l'alimentation</uri> pour plus de conseils sur la gestion de l'énergie
 pour l'unité centrale.
 </note>
 
@@ -300,28 +293,12 @@
 <body>
 
 <p>
-Oui. Il suffit d'exécuter <c>emerge adobe-flash</c>. Adobe fournit un plugin
-Flash 64 bits depuis la version 10.0.22.87. Si vous n'avez pas besoin du plugin
-32 bits, alors <c>echo "www-plugins/adobe-flash -32bit" >>
-/etc/portage/package.use</c> vous permettra de n'installer que le plugin 64
-bits.
+Oui. Il suffit d'exécuter <c>emerge adobe-flash</c>. Lisez attentivement les messages affichés par l'ebuild après son installation.
 </p>
 
 </body>
 </section>
-<section id="OOo">
-<title>Puis-je utiliser OpenOffice.org&nbsp;?</title>
-<body>
-
-<p>
-Oui. En exécutant <c>emerge openoffice</c>. Cela va prendre plusieurs heures et
-utiliser la plupart des ressources de votre système. Si vous ne pensez pas que
-votre machine est à la hauteur, vous pouvez essayer d'installer le binaire
-pré-compilé, <c>openoffice-bin</c>.
-</p>
 
-</body>
-</section>
 <section id="masked">
 <title>J'essaie d'installer le paquet foo, mais emerge indique&nbsp;: (masked
 by: ~amd64 keyword)</title>
@@ -345,13 +322,12 @@
 <p>
 Ce message signifie que le paquet n'a pas été testé sur AMD64. Cela ne signifie
 pas forcément que le paquet ne fonctionne pas. Vous pouvez l'installer en
-indiquant à Portage d'accepter le mot-clé d'une autre architecture (x86 par
-exemple) pour le paquet qui vous intéresse.
+indiquant à Portage d'accepter le mot-clé d'une autre architecture  pour le paquet qui vous intéresse. L'exemple qui suit indique à Portage d'accepter le paquet pour n'importe quelle architecture.
 </p>
 
-<pre caption="Ajouter un mot-clé pour un paquet">
-# <i>echo "categorie/paquet **" >> /etc/portage/package.keywords</i>
-# <i>emerge paquet</i>
+<pre caption="ajouter un mot-clé pour un paquet">
+# <i>echo "category/packagename **" >> /etc/portage/package.accept_keywords</i>
+# <i>emerge packagename</i>
 </pre>
 
 <p>
@@ -362,7 +338,7 @@
 </p>
 
 <warn>
-N'essayez d'utiliser une commande du style <c>ACCEPT_KEYWORDS="~x86" emerge
+n'essayez d'utiliser une commande du style <c>ACCEPT_KEYWORDS="~x86" emerge
 paquet</c>, car cela cassera vraisemblablement votre arbre Portage.
 </warn>
 
@@ -383,17 +359,17 @@
 </p>
 
 <ul>
-  <li>Remplir des rapports de bogue&nbsp;;</li>
-  <li>Tester des paquets qui n'ont pas le mot-clé <c>~amd64</c>&nbsp;;</li>
+  <li>En remplissant des rapports de bogue&nbsp;;</li>
+  <li>En testant des paquets qui n'ont pas encore le mot-clé <c>~amd64</c>&nbsp;;</li>
   <li>
-    Participer au <uri link="/proj/en/base/amd64/at/">projet Arch
+    En participant au <uri link="/proj/en/base/amd64/at/">projet Arch
     Testers</uri>&nbsp;;
   </li>
   <li>
-    Répondre aux questions d'autres utilisateurs sur les listes de diffusion,
+    En répondant aux questions d'autres utilisateurs sur les listes de diffusion,
     dans les forums et sur les canaux IRC&nbsp;;
   </li>
-  <li>Envoyer des correctifs.</li>
+  <li>En envoyant des correctifs.</li>
 </ul>
 
 </body>
@@ -403,7 +379,7 @@
 <chapter>
 <title>Autres ressources</title>
 <section id="other">
-<title>Où puis-je trouver de l'aide ou des informations à propose de Gentoo/AMD64&nbsp;?</title>
+<title>Où puis-je trouver de l'aide ou des informations sur Gentoo/AMD64&nbsp;?</title>
 <body>
 
 <p>



1.11                 xml/htdocs/doc/fr/gentoolkit.xml

file : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoolkit.xml?rev=1.11&view=markup
plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoolkit.xml?rev=1.11&content-type=text/plain
diff : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoolkit.xml?r1=1.10&r2=1.11

Index: gentoolkit.xml
===================================================================
RCS file: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoolkit.xml,v
retrieving revision 1.10
retrieving revision 1.11
diff -u -r1.10 -r1.11
--- gentoolkit.xml	29 Aug 2011 11:00:03 -0000	1.10
+++ gentoolkit.xml	1 Jun 2013 07:51:36 -0000	1.11
@@ -1,5 +1,5 @@
 <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
-<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoolkit.xml,v 1.10 2011/08/29 11:00:03 cam Exp $ -->
+<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/gentoolkit.xml,v 1.11 2013/06/01 07:51:36 swift Exp $ -->
 <!DOCTYPE guide SYSTEM "/dtd/guide.dtd">
 
 <guide lang="fr">
@@ -39,16 +39,19 @@
   <mail link="Clement@×××××××.org">Clément Varaldi</mail>
 </author>
 
+<author title="Traducteur">
+  <mail link="jaaf.forums@××××××××.com">José Fournier</mail>
+</author>
 <abstract>
-Gentoolkit est un ensemble d'outils qui facilitent l'administration d'un
+Gentoolkit est un ensemble d'outils qui facilite l'administration d'un
 système Gentoo. La lecture de ce document vous fournira les bases nécessaires
 à l'utilisation de quelques-uns de ces outils.
 </abstract>
 
 <!-- Licensed under GFDL -->
 
-<version>1.12</version>
-<date>2007-06-25</date>
+<version>6</version>
+<date>2012-11-30</date>
 
 <chapter>
 <title>Introduction</title>
@@ -65,8 +68,7 @@
 <c>app-portage/gentoolkit</c>.
 </p>
 
-<note>
-Il existe à l'heure actuelle deux versions de gentoolkit&nbsp;:
+<note> à l'heure actuelle, il existe deux versions de gentoolkit&nbsp;:
 <c>app-portage/gentoolkit</c> et <c>app-portage/gentoolkit-dev</c>. La première
 contient des scripts servant à l'administration système alors que la seconde
 rassemble des scripts facilitant le développement de Gentoo. Si vous êtes
@@ -89,21 +91,19 @@
 <body>
 
 <p>
-Comme pour n'importe quel paquet Gentoo, l'installation ne nécessite qu'une
+Comme pour n'importe quel paquet Gentoo, l'installation ne nécessite qu'une seule
 commande&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Installer gentoolkit">
+<pre caption="installer gentoolkit">
 # <i>emerge gentoolkit</i>
 </pre>
 
 <note>
-Plusieurs outils de gentoolkit révèlent des informations importantes sur votre
+plusieurs outils de gentoolkit révèlent des informations importantes sur votre
 système ou requièrent les privilèges du super-utilisateur (root). Pour ces
-raisons, certains de ces programmes ne peuvent être exécutés que par un
-utilisateur disposant des permissions root alors que d'autres ne fonctionneront
-correctement que s'ils sont exécutés par un utilisateur disposant de ces
-permissions.
+raisons, certains de ces programmes ne peuvent être exécutés (ou ne fonctionnent correctement) que si 
+l'utilisateur dispose des privilèges de superutilisateur.
 </note>
 
 </body>
@@ -129,54 +129,121 @@
 
 <p>
 L'outil <c>equery</c> est un outil qui montre de nombreuses informations utiles
-à propos des paquets présents sur votre système et plus encore. La commande
-<c>equery --help</c> vous donnera la liste complète des options.
+à propos des paquets présents sur votre système. La commande <c>equery</c> est basée sur un système de modules. Chacun des modules possède un nom abrégé Par exemple, la commande <c>equery l gcc</c> est équivalente à <c>equery list gcc</c>. La commande  <c>equery --help</c> affiche les options globales  et liste les modules disponibles et leur nom abrégé. La commande <c>equery --help module-name</c> affiche l'écran d'aide pour le module spécifique <e>module-name</e>. Pour terminer la commande <c>man equery</c> fournit une explication détaillée sur tous les modules disponibles ainsi que des exemples très utiles.
 </p>
 
-<note>
-Les fonctionnalités listées par <c>equery --help</c> ne sont pas toutes
-implémentées pour l'instant. Celles qui ne le sont pas sont clairement
-indiquées comme telles. Vous remarquerez également que toutes les commandes
-disposent d'une option courte, comme par exemple <c>b</c> à la place de
-<c>belongs</c>.
-</note>
+<p>
+Ci-dessous est présentée une liste de commandes qui fonctionnent avec la majorité des modules.
+</p>
+
+<pre caption="exemples d'entrées acceptables">
+<comment>(Beaucoup de modules requièrent un nom de paquet en argument. equery accepte des entrées dans une syntaxe similaire à celle reconnue par  emerge):</comment>
+$ <i>equery --quiet list gcc</i>                  # <comment>paquet</comment>
+sys-devel/gcc-4.3.2-r3
+$ <i>equery --quiet list sys-devel/gcc</i>        # <comment>categorie/paquet</comment>
+sys-devel/gcc-4.3.2-r3
+$ <i>equery --quiet list '>=sys-devel/gcc-4'</i>  # <comment>syntaxe atomique</comment>
+sys-devel/gcc-4.3.2-r3
+
+<comment>(À l'instar de emerge, equery ne comprend pas les noms partiels de paquet):</comment>
+$ <i>equery check zilla</i>
+!!! No package found matching zilla
+
+<comment>(Au contraire d'emerge, equery peut accepter des recherches de correspondance-expansions (globbing) similaires à celles du shell pour les noms de catégorie et de paquet&nbsp;:</comment>
+$ <i>equery check '*zilla*'</i>
+ * Checking www-client/mozilla-firefox-3.0.14 ...
+    90 out of 90 files passed
+$ <i>equery check www-c*/*</i>
+ * Checking www-client/links-2.2 ...
+   30 out of 30 files passed
+ * Checking www-client/mozilla-firefox-3.0.14 ...
+   90 out of 90 files passed
+
+<comment>(La plupart des modules d'equery acceptent des entrées multiples)&nbsp;:</comment>
+$ <i>equery hasuse sse sse2</i>
+ * Searching for USE flag sse ...
+[IP-] [  ] media-libs/flac-1.2.1-r3 (0)
+[IP-] [  ] media-libs/speex-1.2_beta3_p2 (0)
+
+ * Searching for USE flag sse2 ...
+[IP-] [  ] dev-libs/openssl-0.9.8k (0)
+[IP-] [  ] x11-libs/pixman-0.16.0 (0)
+
+<comment>(Quelques modules autorisent aussi le recours à des expressions régulières complètes)&nbsp;:</comment>
+$ <i>equery -q list --portage-tree --full-regex '[kr]?flickr.*'</i>
+dev-dotnet/flickrnet-bin-2.2
+dev-ruby/flickr-1.0.2-r1
+dev-ruby/flickr-1.0.2-r2
+dev-ruby/rflickr-20060201
+media-gfx/kflickr-0.6
+[...]
+</pre>
 
 <note>
-De plus, vous devez savoir qu'actuellement le format de sortie n'est pas le
-même si vous envoyez les données à travers un pipe ou non. Le format en pipe a
-été simplifié pour être plus facile à manipuler avec des outils classiques.
-Vous pouvez cependant empêcher cette simplification en ajoutant l'option
-<c>--no-pipe</c>. Si vous écrivez des scripts qui utilisent equery, vous devrez
-alors vous tenir au courant des changements de format.
+la prise en charge de la <e>recherche de correspondance/expansion</e> (globbing)  a remplacé de nombreuses anciennes options dans <c>equery</c>. Par exemple, pour agir sur tous les paquets d'un ensemble, utilisez  <c>'*'</c>.
+Pour agir sur tous les paquets d'une catégorie, utilisez<c>'category-name/*'</c>.
 </note>
 
+<warn> n'oubliez-pas d'utiliser les <e>apostrophes (quotes) </e> lorsque vous utilisez des caractères spéciaux pour le shell tels que l'astérisque ou les signes <e>supérieur à </e> et <e>inférieur à</e>.
+
+</warn>
+
+<p>
+Les quelques sections de ce document donnent une brève introduction aux différents modules d'<c>equery</c> .
+</p>
+
 </body>
 </section>
+
 <section>
-<title>Trouver de quel paquet provient un fichier</title>
+<title>Trouver de quel paquet provient un fichier avec le module belongs (b)</title>
 <body>
 
-<p>
-<c>equery</c> permet également de trouver le paquet auquel un fichier appartient
-en utilisant la commande <c>belongs</c> (ou plus simplement <c>b</c>).
-</p>
 
-<pre caption="Trouver l'ebuild ayant installé un certain fichier">
-# <i>equery belongs /usr/bin/audacious</i>
-[ Searching for file(s) /usr/bin/audacious in *... ]
-media-sound/audacious-1.1.2 (/usr/bin/audacious)
+
+<pre caption="Trouver le paquet ayant installé un certain fichier">
+$ <i>equery belongs -e /usr/bin/glxgears</i>
+ * Searching for /usr/bin/glxgears ...
+ x11-apps/mesa-progs-7.5.1 (/usr/bin/glxgears)
 </pre>
 
 <p>
 En utilisant l'option <c>-f</c> vous pouvez chercher les paquets installant des
 fichiers correspondant à une expression régulière. L'option <c>-e</c> est utile
-pour terminer la recherche immédiatement après avoir trouvé une réponse.
+pour terminer la recherche immédiatement après avoir trouvé une correspondance. Comme il n'existe pas de fichier qui puisse avoir été installé par deux paquets, c'est là une optimisation sûre.
+</p>
+
+</body>
+</section>
+
+<section>
+<title>Retouver les entrées de journalisation concernant des changements avec le module changes (c)</title>
+<body>
+
+<p>
+<c>changes</c> vous permet de voir les entrées de journalisation correspondant à un changement de version (ou plage de versions) d'un paquet. Imaginez qu'après une commande  <c>emerge --sync</c>, vous vous rendiez compte que Portage va être mis à jour et que vous vouliez savoir ce qui a changé&nbsp;:
 </p>
 
+<pre caption="retrouver les entrées de journalisation concernant des changements">
+<comment>(Affiche l'entrée correspondant à la dernière version installable)&nbsp;:</comment>
+$ <i>equery changes portage</i>
+*portage-2.1.6.13 (03 May 2009)
+
+  03 May 2009; Zac Medico &lt;zmedico@g.o&gt; +portage-2.1.6.13.ebuild:
+  2.1.6.13 bump. This fixes bug #268398 (document econf automatic die)
+  and bug #267104 (handle insufficient space interaction with userfetch).
+  Bug #268228 tracks all bugs fixed since 2.1.6.11.
+</pre>
+
 </body>
 </section>
+
+
+
+
 <section>
-<title>Vérifier l'intégrité d'un paquet</title>
+
+<title>Vérifier l'intégrité d'un paquet avec le module check (k)</title>
 <body>
 
 <p>
@@ -185,202 +252,250 @@
 a été corrompu, remplacé ou enlevé.
 </p>
 
-<pre caption="Intégrité correcte d'un paquet">
-# <i>equery check gentoolkit</i>
-[ Checking app-portage/gentoolkit-0.2.0 ]
- * 54 out of 54 files good
+<pre caption="vérifier l'intégrité d'un paquet">
+$ <i>equery check gentoolkit</i>
+ * Checking app-portage/gentoolkit-0.3.0_rc7 ...
+   71 out of 71 files passed
 </pre>
 
-<p>
-Vous remarquerez que si vous changez des fichiers de configuration après
-l'installation, ils seront probablement rapportés comme «&nbsp;not good&nbsp;»,
-soit incorrects.
-</p>
+
 
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Lister tous les paquets dépendant de...</title>
+<title>Lister tous les paquets dépendant d'un autre avec le module depends (d)</title>
 <body>
 
-<p>
-<c>equery</c> est capable de lister toutes les dépendances directes d'un paquet.
-Nous utiliserons pour cela la fonction <c>depends</c> et son utilisation est
-simple&nbsp;:
+<p>Vous vous demandez peut-être  si un paquet donné est installé sur votre système&nbsp;?
+<c>equery</c> est capable de vous donner les noms des paquets qui le listent en tant  que dépendance directe. Il faut faire appel pour cela au module <c>depends</c> nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Chercher les paquets dépendant de pygtk">
-# <i>equery depends pygtk</i>
-[ Searching for packages depending on pygtk... ]
-app-office/dia-0.93
-dev-python/gnome-python-2.0.0-r1
-gnome-extra/gdesklets-core-0.26.2
-media-gfx/gimp-2.0.4
-x11-libs/vte-0.11.11-r1
+<pre caption="chercher les paquets dépendant de pygtk">
+$ <i>equery depends pygtk</i>
+ * Searching for pygtk ...
+app-admin/pessulus-2.24.0 (>=dev-python/pygtk-2.6.0)
+app-editors/gedit-2.24.3 (python ? >=dev-python/pygtk-2.12)
+dev-libs/libgweather-2.24.3 (python ? >=dev-python/pygtk-2)
+dev-python/gnome-python-base-2.22.3 (>=dev-python/pygtk-2.10.3)
+dev-python/gnome-python-desktop-base-2.24.1 (>=dev-python/pygtk-2.10.3)
+[...]
 </pre>
 
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Graphes de dépendances</title>
+<title>Obtenir le graphe de dépendances avec le module depgraph (g)</title>
 <body>
 
 <p>
-<c>equery</c> est capable de vous donner un graphe des dépendances pour un
-paquet donné. Le graphe de dépendances liste tous les paquets qui ont une
-dépendance directe ou indirecte pour le paquet en question.
+<c>depgraph</c> est le réciproque de <c>depends</c>. Vous lui donnez un paquet en paramètre, et il est capable de trouver les paquets <e>dont il dépend</e> et non pas ceux <e>qui dépendent de lui</e>&nbsp;! Lorsqu'une dépendance est trouvée, il va rechercher, de manière récursive, tous les paquets dont ce dernier dépend. Il est possible de contrôler la profondeur de l'arbre avec l'option <c>--depth</c>.
 </p>
 
-<pre caption="Graphe de dépendances pour cdrtools">
-# <i>equery depgraph cdrtools</i>
-Displaying dependencies for app-cdr/cdrtools-2.01_alpha37
-`-- app-cdr/cdrtools-2.01_alpha37
- `-- sys-libs/glibc-2.3.4.20040808 (virtual/libc)
-  `-- sys-kernel/linux-headers-2.4.22 (virtual/os-headers)
-   `-- sys-apps/baselayout-1.10.4
-    `-- sys-apps/sysvinit-2.85-r1
-     `-- sys-apps/gawk-3.1.3-r1
-      `-- sys-apps/util-linux-2.12-r4
-          `-- sys-apps/sed-4.0.9
-              `-- sys-libs/ncurses-5.4-r4
-                  `-- sys-apps/pam-login-3.14
-                  `-- sys-libs/pam-0.77-r1
-                 `-- sys-libs/cracklib-2.7-r10
-               `-- sys-apps/miscfiles-1.3-r1
-              `-- app-arch/gzip-1.3.5-r1
-              `-- sys-apps/portage-2.0.50-r10
+<pre caption="graphe de dépendances pour mozilla-firefox">
+$ <i>equery depgraph mozilla-firefox</i>
+ * Searching for mozilla-firefox ...
+ * dependency graph for www-client/mozilla-firefox-2.0.0.19:
+`-- www-client/mozilla-firefox-2.0.0.19
+ `-- virtual/jre-1.6.0 (virtual/jre) [java]
+  `-- virtual/jdk-1.6.0 (virtual/jdk-1.6.0*)
+  `-- dev-java/icedtea6-bin (unable to resolve: package masked or removed)
+   `-- dev-java/sun-jdk-1.6.0.15
+    `-- dev-java/java-sdk-docs-1.6.0.10 [doc]
+     `-- app-arch/unzip-6.0-r1
+      `-- app-arch/bzip2-1.0.5-r1 [bzip2]
+    `-- sys-libs/glibc-2.9_p20081201-r2
+     `-- sys-devel/gettext-0.17 [nls]
+      `-- virtual/libiconv-0 (virtual/libiconv)
+[...]
 </pre>
 
 <p>
-Par exemple, si glibc est une dépendance directe pour cdrtools, linux-headers
-n'est qu'une dépendance indirecte. Remarquez que la sortie donne également
-des informations sur les paquets virtuels. Dans l'exemple ci-dessus,
-<c>cdrtools</c> est en fait écrit comme nécessitant virtual/libc et non
-sys-libs/glibc. Mais dans l'exemple donné, le paquet virtuel virtual/libc
-sera satisfait grâce à l'installation de sys-libs/glibc.
+Notez bien ici que <c>jre</c> est une dépendance directe et que <c>jdk</c> est une dépendance indirecte si l'option<c>java</c> de la variable USE est validée.
 </p>
 
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Lister les fichiers appartenant à un ebuild</title>
+<title>Lister les fichiers appartenant à un paquet avec le module files (f)</title>
 <body>
 
 <p>
-<c>equery</c> peut lister les fichiers qui appartiennent à un ebuild installé.
-Si vous ne savez pas quels fichiers ont été installés par Gentoolkit sur le
-système, vous pourrez utiliser <c>equery</c> pour les obtenir.
-</p>
-
-<pre caption="Lister les fichiers de Gentoolkit">
-# <i>equery files gentoolkit</i>
-[ Searching for packages matching gentoolkit... ]
-app-portage/gentoolkit-0.2.0
-* Contents of app-portage/gentoolkit-0.2.0:
-/usr
-/usr/bin
-/usr/bin/equery
-/usr/bin/etcat
-/usr/bin/euse
-/usr/bin/glsa-check
-/usr/bin/qpkg
-/usr/bin/revdep-rebuild
-/usr/lib
-/usr/lib/gentoolkit
-/usr/lib/gentoolkit/pym
-/usr/lib/gentoolkit/pym/gentoolkit
-/usr/lib/gentoolkit/pym/gentoolkit/__init__.py
-/usr/lib/gentoolkit/pym/gentoolkit/gentoolkit.py
-/usr/lib/gentoolkit/pym/gentoolkit/pprinter.py
-/usr/lib/gentoolkit/pym/glsa.py
-/usr/sbin
-/usr/share
-/usr/share/doc
-/usr/share/doc/gentoolkit-0.2.0_pre10
-
+<c>equery</c> peut lister les fichiers installés par un ebuild grâce au module <c>files</c>. Utilisez l'option <c>--tree</c> pour obtenir une présentation de l'agencement des répertoires facile à lire. Utilisez l'option  <c>--filter</c> pour vous limiter à un certain type de fichiers. Par exemple, pour savoir où ont été installés les exécutables, utilisez <c>--filter=cmd</c>, et pour trouver rapidement l'emplacement des fichiers de configuration, essayez <c>--filter=conf</c>.
+</p>
+
+<pre caption="lister les fichiers de Gentoolkit sous forme d'arbre">
+$ <i>equery files --tree gentoolkit</i>
+ * Searching for gentoolkit ...
+ * Contents of app-portage/gentoolkit-0.3.0_rc7:
+ /etc
+   > /eclean
+      + distfiles.exclude
+      + packages.exclude
+   > /env.d
+      + 99gentoolkit-env
+   > /revdep-rebuild
+      + 99revdep-rebuild
+ /usr
+   > /bin
+      + eclean
+      + eclean-dist -> eclean
+      + eclean-pkg -> eclean
+      + epkginfo
+      + equery
+      + eread
+      + euse
+      + glsa-check
+      + revdep-rebuild
+   > /lib
+      > /python2.6
+         > /site-packages
+            > /gentoolkit
+            + gentoolkit-0.3.0_rc7-py2.6.egg-info
+               + __init__.py
+               > /equery
+                  + __init__.py
+                  + belongs.py
+                  + changes.py
+                  + check.py
+                  + depends.py
+                  + depgraph.py
+                  + files.py
 [...]
 </pre>
 
-<p>
-La commande <c>files</c> de <c>equery</c> propose quelques options pour modifier
-la sortie. Vous pouvez y jeter un œil en lisant la page de manuel de
-<c>equery</c>.
-</p>
 
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Chercher les paquets qui utilisent une option USE spécifique</title>
+<title>Chercher les paquets qui utilisent une option spécifique de USE avec le module hasuse (h)</title>
 <body>
 
 <p>
 Si vous souhaitez trouver quels paquets sur votre système peuvent utiliser une
-option USE bien précise, <c>equery</c> dispose de la fonction <c>hasuse</c>.
+option USE bien précise, <c>equery</c> dispose de la fonction <c>hasuse</c>. Ce module ne vous dira pas si l'option est activée, mais seulement si l'option peut être définie. Reportez-vous à la <e>page de manuel</e> de equery pour plus de détail sur la manière d'obtenir cette information.
 </p>
 
-<pre caption="Chercher les paquets qui utilisent l'option USE firefox">
-# <i>equery hasuse firefox</i>
-[ Searching for USE flag firefox in all categories among: ]
- * installed packages
-[I--] [  ] dev-python/gnome-python-extras-2.14.0-r1 (0)
-[I--] [  ] media-video/totem-2.16.4 (0)
+<pre caption="chercher les paquets qui utilisent les options qt3 ou qt4 de la variable USE">
+$ <i>equery hasuse qt3 qt4</i>
+ * Searching for USE flag qt3 ...
+[IP-] [  ] app-crypt/pinentry-0.7.5 (0)
+[IP-] [  ] net-dns/avahi-0.6.24-r2 (0)
+[IP-] [  ] net-wireless/wpa_supplicant-0.6.9 (0)
+
+ * Searching for USE flag qt4 ...
+[IP-] [  ] net-dns/avahi-0.6.24-r2 (0)
+[IP-] [  ] net-wireless/wpa_supplicant-0.6.9 (0)
 </pre>
 
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Lister les paquets</title>
+<title>Lister les paquets avec le module list (l)</title>
 <body>
 
 <p>
 <c>equery</c> dispose d'un outil puissant permettant de lister les paquets
-appartenant à notre système, à Portage ou même à un «&nbsp;overlay&nbsp;». Nous
-allons l'essayer&nbsp;:
+installés sur votre système, dans l'arbre de Portage ou même dans un «&nbsp;arbre alternatif&nbsp;».
 </p>
 
-<pre caption="Lister les paquets avec equery">
-# <i>equery list gentoolkit</i>
-[ Searching for package 'gentoolkit' in all categories among: ]
- * installed packages
-[I--] [  ] app-portage/gentoolkit-0.2.0 (0)
+<pre caption="lister les paquets installés avec le module list">
+$ <i>equery list '*'</i>
+ * Searching for * ...
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-1.2.3 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-ctags-1.10 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-esd-20060719 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-fontconfig-1.0 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-opengl-1.0.8-r1 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-python-20090824 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-ruby-20081227 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/eselect-vi-1.1.5 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/perl-cleaner-1.05 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/pessulus-2.24.0 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/python-updater-0.7 (0)
+[IP-] [  ] app-admin/sudo-1.7.2_p1 (0)
+[...]
 </pre>
 
 <p>
-La recherche standard cherchera parmi les paquets installés un nom donné. S'il
-est trouvé, les informations suivantes seront retournées&nbsp;: l'état du
-paquet sur le système dans les premiers crochets (I pour les paquets Installés,
-P pour Portage et O pour Overlay), les masques possibles dans les seconds (~ par
-mot-clef, - par architecture ou M pour Masqué en dur), puis la catégorie,
-le nom complet et enfin le SLOT dans lequel le paquet est mis.
+La recherche standard cherchera parmi les paquets installés un nom donné. En donnant '*' tous les paquets du jeu seront listés. Dans le champ le plus à gauche, nous voyons que les paquets sont <c>I</c>nstallés et qu'ils proviennent de l'arbre de <c>P</c>ortage. Ils ne sont pas masqués (le second champ est vide), ils sont tous installés dans le slot par défaut (0). 
 </p>
 
 <p>
 Dans cet autre exemple, nous allons utiliser des options locales pour chercher
-des paquets dans notre arbre de Portage et dans l'overlay.
+des paquets de notre arbre de Portage et dans les arbres alternatifs (overlays).
 </p>
 
-<pre caption="Utilisation d'options locales avec equery">
-# <i>equery list -p -o vim</i>
-[ Searching for package 'vim' in all categories among: ]
- * installed packages
-[I--] [  ] app-editors/vim-6.3-r4 (0)
- * Portage tree (/usr/portage)
-[-P-] [M~] app-editors/vim-7.0_alpha20050126 (0)
-[-P-] [M~] app-editors/vim-7.0_alpha20050201 (0)
-[-P-] [  ] app-editors/vim-6.3-r2 (0)
-[-P-] [M~] app-editors/vim-7.0_alpha20050122 (0)
-[-P-] [M~] app-editors/vim-core-7.0_alpha20050126 (0)
-[-P-] [  ] app-editors/vim-core-6.3-r3 (0)
-[-P-] [M~] app-editors/vim-core-7.0_alpha20050122 (0)
-[-P-] [M~] app-editors/vim-core-7.0_alpha20050201 (0)
-[-P-] [  ] app-editors/vim-core-6.3-r4 (0)
- * overlay tree (/opt/ebuilds)
+<pre caption="utiliser des options locales avec list">
+$ <i>equery list -po vim</i>
+ * Searching for vim ...
+[-P-] [  ] app-editors/vim-7.0.235 (0)
+[-P-] [ ~] app-editors/vim-7.0.243 (0)
+[-P-] [  ] app-editors/vim-7.1.123 (0)
+[-P-] [ ~] app-editors/vim-7.1.330 (0)
+[-P-] [  ] app-editors/vim-7.2 (0)
+[-P-] [ ~] app-editors/vim-7.2.108 (0)
+[IP-] [  ] app-editors/vim-7.2.182 (0)
+[-P-] [ ~] app-editors/vim-7.2.238 (0)
+[-P-] [ ~] app-editors/vim-7.2.264 (0)
+</pre>
+<p>
+Dans cet exemple, vous pouvez voir que la version 7.2.182 est installée et qu'aucune version n'est disponible depuis un arbre alternatif. Vous pouvez aussi voir quelles versions sont masquées par un mot clé sous la forme d'un  <c>~</c> dans le deuxième champ.
+</p>
+</body>
+</section>
+<section>
+<title>Voir les Méta-données d'un paquet avec le module meta (m)</title>
+<body>
+
+<p>
+Tout paquet de l'arbre Portage fournit au moins quelques méta-données sur qui est chargé de sa maintenance, le <e>herd</e> auquel il appartient, etc. Reportez-vous, pour plus de détails, à  <uri
+link="http://devmanual.gentoo.org/ebuild-writing/misc-files/metadata/index.html">
+Gentoo Metadata</uri>. La quantité d'informations utiles dépend du bon vouloir de ses mainteneurs. Sans option, <c>meta</c> retourne quelques informations de base.
+</p>
+
+<pre caption="obtenir les méta-données d'un paquet avec  meta">
+$ <i>equery meta gnucash</i>
+ * app-office/gnucash [gentoo]
+ Herd:        gnome-office (gnome-office@g.o)
+ Maintainer:  tove@g.o (Torsten Veller)
+ Upstream:    None specified
+ Location:    /usr/portage/app-office/gnucash
+ Keywords:    2.2.9-r1:0: alpha amd64 ppc sparc x86
+ Keywords:    2.2.9-r2:0:
+ Keywords:    2.3.8:0:
+ Keywords:    2.3.10:0: ~alpha ~amd64 ~ppc ~sparc ~x86
+</pre>
+
+<p>
+Lorsque les mainteneurs fournissent des informations supplémentaires, elles peuvent s'avérer très utiles&nbsp;:
+</p>
+
+<pre caption="obtenir une description étendue avec meta">
+$ <i>equery meta --description emacs</i>
+ * app-editors/emacs
+  GNU Emacs is an extensible, customizable text editor - and more. At its core
+  is an interpreter for Emacs Lisp, a dialect of the Lisp programming language
+  with extensions to support text editing. The features of GNU Emacs include:
+   * Content-sensitive editing modes, including syntax coloring, for a wide
+     variety of file types including plain text, source code, and HTML.
+   * Complete built-in documentation, including a tutorial for new users.
+   * Support for many languages and their scripts, including all the European
+     "Latin" scripts, Russian, Greek, Japanese, Chinese, Korean, Thai,
+     Vietnamese, Lao, Ethiopian, and some Indian scripts.
+   * Highly customizable, using Emacs Lisp code or a graphical customization
+     interface.
+   * A large number of extensions that add other functionality, including a
+     project planner, mail and news reader, debugger interface, calendar, and
+     more. Many of these extensions are distributed with GNU Emacs; others are
+     available separately.
 </pre>
 
 </body>
 </section>
+
+
 <section>
-<title>Trouver la taille d'un paquet</title>
+<title>Trouver la taille d'un paquet avec le module size (s)</title>
 <body>
 
 <p>
@@ -390,54 +505,64 @@
 d'inquiétude, <c>equery</c> est là pour vous aider&nbsp;!
 </p>
 
-<pre caption="Obtenir la taille d'un paquet">
-# <i>equery size openoffice-bin</i>
-* app-office/openoffice-bin-1.1.2
-       Total Files : 2908
-       Total Size  : 223353.31 KiB
+<pre caption="obtenir la taille d'un paquet">
+$ <i>equery size openoffice-bin</i>
+ * app-office/openoffice-bin-3.1.1
+         Total files : 4624
+         Total size  : 361.38 MiB
 </pre>
 
 <p>
-Comme vous pouvez le voir, <c>equery</c> donne à la fois l'espace disque total
-occupé en kilo octets et le nombre de fichiers du paquet.
+Comme vous pouvez le voir, <c>size</c> donne à la fois l'espace disque total
+occupé en kilooctets et le nombre de fichiers du paquet. Pour avoir la taille totale en octets, utilisez <c>--bytes</c>.
 </p>
 
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Liste des options USE d'un paquet</title>
+<title>Liste des options de USE d'un paquet avec le module uses (u)</title>
 <body>
 
 <p>
-<c>equery</c> peut être utilisé pour obtenir de l'information sur les options
-USE utilisées par un paquet donné. Il vous indiquera les options USE utilisées
-lors de l'installation du paquet, et aussi toutes les options USE disponibles
+<c>equery</c> peut être utilisé pour obtenir de l'information sur les options de la variable 
+USE utilisées par un paquet donné. Il vous indiquera le positionnement des options  de la variable USE utilisées
+lors de l'installation du paquet, et aussi toutes les options de la variable USE disponibles
 pour ce paquet.
 </p>
 
-<pre caption="Paramétrer les options USE">
-# <i>equery uses wireshark</i>
-[ Colour Code : set unset ]
-[ Legend    : (U) Col 1 - Current USE flags        ]
-[           : (I) Col 2 - Installed With USE flags ]
-
- U I [ Found these USE variables in : net-analyzer/wireshark-0.99.4 ]
- - - adns  : Adds support for the adns DNS client library
- + + gtk   : Adds support for x11-libs/gtk+ (The GIMP Toolkit)
- - - ipv6  : Adds support for IP version 6
- - - kerberos  : Adds kerberos support
- - - portaudio : Adds support for the crossplatform portaudio audio API
- - - selinux   : !!internal use only!! Security Enhanced Linux support, this must be set by the selinux profile or breakage will occur
- - - snmp  : Adds support for the Simple Network Management Protocol if available
- + + ssl   : Adds support for Secure Socket Layer connections
- - - threads   : Adds threads support for various packages. Usually pthreads
+<pre caption="voir quelles sont les options de la variable USE activées et désactivées">
+$ <i>equery uses gst-plugins-meta</i>
+ * Searching for gst-plugins-meta ...
+[ Legend : U - flag is set in make.conf       ]
+[        : I - package is installed with flag ]
+[ Colors : set, unset                         ]
+ * Found these USE flags for media-plugins/gst-plugins-meta-0.10-r2:
+ U I
+ + + X      : Adds support for X11
+ - - a52    : Enables support for decoding ATSC A/52 streams used in DVD
+ + + alsa   : Adds support for media-libs/alsa-lib (Advanced Linux Sound
+              Architecture)
+ - - dvb    : Adds support for DVB (Digital Video Broadcasting)
+ + + dvd    : Adds support for DVDs
+ + + esd    : Adds support for media-sound/esound (Enlightened Sound Daemon)
+ + + ffmpeg : Enable ffmpeg-based audio/video codec support
+ + + flac   : Adds support for FLAC: Free Lossless Audio Codec
+ - - mad    : Adds support for mad (high-quality mp3 decoder library and cli
+              frontend)
+ + + mpeg   : Adds libmpeg3 support to various packages
+ - - mythtv : Support for retrieval from media-tv/mythtv backend
+ + + ogg    : Adds support for the Ogg container format (commonly used by
+              Vorbis, Theora and flac)
+ - - oss    : Adds support for OSS (Open Sound System)
+ + + theora : Adds support for the Theora Video Compression Codec
+ + + vorbis : Adds support for the OggVorbis audio codec
+ - - xv     : Adds in optional support for the Xvideo extension (an X API for
+              video playback)
 </pre>
 
 <p>
-On constate dans l'exemple précédent que seules les options USE gtk et ssl 
-étaient actives lorsque j'ai installé wireshark, mais qu'il y a plusieurs autres 
-options USE qui peuvent être utilisées par ce paquet. Pour en savoir plus sur 
-les options USE, consultez le chapitre <uri
+Dans l'exemple précédent, vous pouvez voir que certaines options de la variable USE sont activées dans pour le plugin <c>gstreamer</c>, mais également que d'autres options sont disponibles.   Pour en savoir plus sur 
+les options de la variable USE, consultez le chapitre <uri
 link="/doc/fr/handbook/handbook-x86.xml?part=2&amp;chap=2">La variable USE</uri> 
 du <uri link="/doc/fr/handbook/">Manuel Gentoo</uri>.
 </p>
@@ -445,20 +570,31 @@
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Où se trouve cet ebuild&nbsp;?</title>
+<title>Trouver où se trouve un ebuild avec le module which (w)&nbsp;?</title>
 <body>
 
 <p>
 <c>equery</c> peut également être utilisé pour trouver l'ebuild associé à un
 paquet donné. Pour ce faire, utilisez la commande <c>equery which</c> qui donne
-le chemin d'accès complet de l'ebuild en question.
+le chemin d'accès complet à l'ebuild en question. Si vous ne précisez pas la version du paquet,  <c>which</c> vous retournera l'emplacement de la version de l'ebuild installable la plus récente. En d'autres mots, l'ebuild que Portage installerait si vous tapiez <c>emerge package</c>. Donnez aussi la version du paquet pour savoir où se trouve l'ebuild correspondant à cette version.
 </p>
 
-<pre caption="Afficher le chemin d'accès d'un ebuild">
-# <i>equery which cdrtools</i>
-/usr/portage/app-cdr/cdrtools/cdrtools-2.01_alpha37.ebuild
+<pre caption="afficher l'emplacement de la dernière version installable d'un ebuild">
+$ <i>equery which gnome</i>
+/usr/portage/gnome-base/gnome/gnome-2.26.3.ebuild
+</pre>
+<p>
+En dernier recours, si aucune des fonctionnalités de <c>equery</c> ne répond à votre interrogation, essayez <c>which</c> pour rechercher manuellement un ebuid avec des programmes tels que  <c>cat</c>, <c>less</c> ou <c>grep</c>:
+</p>
+
+<pre caption="autres façons utiles d'utiliser le module which">
+$ <i>grep HOMEPAGE $(equery which gentoolkit)</i>
+HOMEPAGE="http://www.gentoo.org/proj/en/portage/tools/index.xml"
 </pre>
 
+<warn>
+gardez cependant à l'esprit que  <c>equery</c> modifie le format de la sortie lorsqu'il la transmet à un <e>tuyau (pipe)</e>. Le format à destination d'un tel tuyau est prévu pour être plus facilement analysable par les outils, mais vous pouvez désactiver ce formatage avec  l'option <c>--no-pipe</c>. Lorsque vous écrivez des scripts utilisant <c>equery</c>,ne l'oubliez pas.
+</warn>
 </body>
 </section>
 </chapter>
@@ -470,8 +606,7 @@
 <body>
 
 <p>
-L'outil <c>euse</c> sert à consulter la variable USE et à ajouter et retirer
-des options à cette variable, et ce à différents endroits sur votre système.
+L'outil <c>euse</c> sert à consulter les options de la variable USE et à les activer ou  les désactiver en différents endroits de votre système.
 Pour plus d'informations sur les options USE, consultez le chapitre <uri
 link="/doc/fr/handbook/handbook-x86.xml?part=2&amp;chap=2">La variable
 USE</uri> du <uri link="/doc/fr/handbook/">Manuel Gentoo</uri>. Utilisez
@@ -481,23 +616,22 @@
 </body>
 </section>
 <section>
-<title>Consulter, ajouter et retirer des paramètres USE</title>
+<title>Consulter, activer et désactiver des options de la variable USE</title>
 <body>
 
 <p>
-La commande <c>euse -a</c> lit la configuration actuelle des options USE actives
-et les affiche.
+La commande <c>euse -a</c> lit la configuration actuelle des options activées de la variable USE et les affiche.
 </p>
 
 <note>
 <c>euse</c> utilise désormais cinq colonnes pour montrer si une option est
-activée ou non et où cette option a été activée. Les colonnes sont précisées
+activée ou non et à quel endroit cette option a été activée. Les colonnes sont précisées
 comme suit&nbsp;: +/-, activé dans l'<e>E</e>nvironnement, activée dans
 make.<e>C</e>onf, activée dans make.<e>D</e>efaults, et dans
 make.<e>G</e>lobals. La sortie ressemble à [+ECDG]. 
 </note>
 
-<pre caption="Consulter toutes les options USE actives">
+<pre caption="consulter toutes les options activées de la variable USE">
 # <i> euse -a</i>
 X                   [+ CD ]
 aalib               [+    ]
@@ -593,13 +727,13 @@
 
 <p>
 Vous pouvez aussi utiliser la commande <c>euse -a -g</c> pour ne consulter que
-les options USE globales actives. La commande <c>euse -a -l</c> permet
-d'obtenir la même chose pour les options USE locales actives. <c>-g</c> et
+les options globales de la variable USE qui sont activées. La commande <c>euse -a -l</c> permet
+d'obtenir la même chose pour les options locales de la variable USE. <c>-g</c> et
 <c>-l</c> sont des sous-options de <c>euse</c> et nécessitent une option donnée
 auparavant (comme <c>-a</c>) pour fonctionner correctement.
 </p>
 
-<pre caption="Consulter les options USE locales actives">
+<pre caption="consulter les options activées de la variable USE">
 # <i>euse -a -l</i>
 bitmap-fonts        [+  D ]
 font-server         [+  D ]
@@ -614,24 +748,24 @@
 
 <p>
 On peut également utiliser <c>euse</c> pour activer ou désactiver des options
-USE. Les commandes à utiliser sont <c>euse -E option</c> (activer une option)
+de USE. Les commandes à utiliser sont <c>euse -E option</c> (activer une option)
 et <c>euse -D option</c> (désactiver une option).
 </p>
 
 <warn>
-N'utilisez pas les commandes <c>euse -E</c> et <c>euse -D</c> sans préciser
-d'options USE sinon cela activera/désactivera TOUTES les options USE dans
-<path>/etc/make.conf</path>. Même si une sauvegarde est créée sur
-<path>/etc/make.conf.euse_backup</path>, faites attention en utilisant
+n'utilisez pas les commandes <c>euse -E</c> et <c>euse -D</c> sans préciser
+d'option de USE sinon cela activera/désactivera TOUTES les options de USE dans
+<path>/etc/portage/make.conf</path>. Même si une sauvegarde est créée sur
+<path>/etc/portage/make.conf.euse_backup</path>, faites attention en utilisant
 <c>euse -E</c> ou <c>euse -D</c>.
 </warn>
 
-<pre caption="Activer et désactiver des options USE">
-<comment>(Activer une option USE)</comment>
+<pre caption="activer et désactiver des options  de la variable USE">
+<comment>(activer une option de  USE)</comment>
 # <i> euse -E 3dfx</i>
-/etc/make.conf was modified, a backup copy has been placed at /etc/make.conf.euse_backup
+/etc/make.conf was modified, a backup copy has been placed at /etc/portage/make.conf.euse_backup
 
-<comment>(/etc/make.conf après la commande)</comment>
+<comment>(/etc/portage/make.conf après la commande)</comment>
 USE="alsa acpi apache2 -arts cups cdr crypt cscope -doc fbcon \
      firefox gd gif gimpprint gnome gpm gstreamer gtkhtml imlib \
      innodb -java javascript jpeg libg++ libwww mad mbox md5sum \
@@ -640,11 +774,11 @@
      quicktime readline sdl spell sse ssl svga tcltk tiff truetype usb \
      vanilla X xosd xv xvid x86 zlib 3dfx"
 
-<comment>(Désactiver une option USE)</comment>
+<comment>(désactiver une option  de USE)</comment>
 # <i> euse -D 3dfx</i>
-/etc/make.conf was modified, a backup copy has been placed at /etc/make.conf.euse_backup
+/etc/portage/make.conf was modified, a backup copy has been placed at /etc/portage/make.conf.euse_backup
 
-<comment>(/etc/make.conf après la commande)</comment>
+<comment>(/etc/portage/make.conf après la commande)</comment>
 USE="alsa acpi apache2 -arts cups cdr crypt cscope -doc fbcon \
      firefox gd gif gimpprint gnome gpm gstreamer gtkhtml imlib \
      innodb -java javascript jpeg libg++ libwww mad mbox md5sum \
@@ -655,7 +789,7 @@
 </pre>
 
 <note>
-<c>euse</c> ne supprime pas réellement les options de make.conf&nbsp;; il les
+<c>euse</c> ne supprime pas réellement les options du fichier make.conf&nbsp;; il les
 préfixe simplement avec - (moins) afin de les désactiver. Vous souhaiterez
 peut-être nettoyer manuellement votre make.conf pour retirer les options non
 désirées.
@@ -673,7 +807,7 @@
 
 <p>
 Cet outil est le «&nbsp;reconstructeur des dépendances inverses&nbsp;» de
-Gentoo. Il examine les ebuilds installés sur votre système pour trouver ceux
+Gentoo. Il examine les paquets installés sur votre système pour trouver ceux
 qui ne fonctionnent plus à cause de la mise à jour de paquets dont ils
 dépendent. Il peut aussi installer ces paquets manquants pour vous, mais
 lorsqu'un paquet ne fonctionne plus avec les versions des dépendances déjà
@@ -683,64 +817,56 @@
 consulter la liste des paquets qui seront installés avant de procéder.
 </p>
 
-<pre caption="Exécuter revdep-rebuild en mode « pretend »">
+<pre caption="exécuter revdep-rebuild en mode « pretend »">
 # <i>revdep-rebuild -p</i>
 
-Checking reverse dependencies...
-Packages containing binaries and libraries broken by any package update,
-will be recompiled.
-
-Collecting system binaries and libraries... done.
-  (/root/.revdep-rebuild.1_files)
-
-Collecting complete LD_LIBRARY_PATH... done.
-  (/root/.revdep-rebuild.2_ldpath)
-
-Checking dynamic linking consistency...
-  broken /usr/lib/ao/plugins-2/libarts.so (requires libartsc.so.0)
-  broken /usr/lib/kde3/libkpresenterpart.so (requires libartskde.so.1 libqtmcop.so.1
-         libsoundserver_idl.so.1 libkmedia2_idl.so.1 libartsflow.so.1 libartsflow_idl.so.1 libmcop.so.1)
-  broken /usr/lib/ruby/site_ruby/1.8/i686-linux/fox.so (requires libFOX-1.0.so.0)
-  broken /usr/lib/xine/plugins/1.0.0/xineplug_ao_out_arts.so (requires libartsc.so.0)
-  broken /usr/lib/perl5/vendor_perl/5.8.0/i686-linux/auto/SDL_perl/SDL_perl.so (requires libSDL_gfx.so.0)
-  broken /usr/lib/libloudmouth-1.so.0.0.0 (requires libgnutls.so.10)
-  broken /usr/bin/k3b (requires libartskde.so.1 libqtmcop.so.1 libsoundserver_idl.so.1 libkmedia2_idl.so.1
-         libartsflow.so.1 libartsflow_idl.so.1 libmcop.so.1)
-  broken /usr/bin/lua (requires libhistory.so.4)
-  broken /usr/bin/lyx (requires libAiksaurus-1.0.so.0)
-  broken /usr/bin/luac (requires libhistory.so.4)
-  broken /usr/bin/avidemux2 (requires libartsc.so.0)
-  broken /usr/bin/pptout (requires libxml++-0.1.so.11)
-  broken /usr/bin/xml2ps (requires libxml++-0.1.so.11)
- done.
-  (/root/.revdep-rebuild.3_rebuild)
-
-Assigning files to ebuilds... done.
-  (/root/.revdep-rebuild.4_ebuilds)
-
-Evaluating package order... done.
-  (/root/.revdep-rebuild.5_order)
-
-All prepared. Starting rebuild...
-emerge --oneshot --nodeps -p =app-cdr/k3b-0.11.14 =app-office/koffice-1.3.2 =app-office/lyx-1.3.4 \
-       =app-office/passepartout-0.2 =dev-lang/lua-5.0.2 =dev-ruby/fxruby-1.0.29 =media-libs/libao-0.8.5 \
-       =media-libs/xine-lib-1_rc5-r3 =media-video/avidemux-2.0.26 =net-libs/loudmouth-0.16
-
-These are the packages that I would merge, in order:
-
-Calculating dependencies ...done!
-[ebuild   R   ] app-cdr/k3b-0.11.14
-[ebuild   R   ] app-office/koffice-1.3.2
-[ebuild   R   ] app-office/lyx-1.3.4
-[ebuild   R   ] app-office/passepartout-0.2
-[ebuild   R   ] dev-lang/lua-5.0.2
-[ebuild   R   ] dev-ruby/fxruby-1.0.29
-[ebuild   R   ] media-libs/libao-0.8.5
-[ebuild   R   ] media-libs/xine-lib-1_rc5-r3
-[ebuild   R   ] media-video/avidemux-2.0.26
-[ebuild   R   ] net-libs/loudmouth-0.16
+ * Configuring search environment for revdep-rebuild
 
-Now you can remove -p (or --pretend) from arguments and re-run revdep-rebuild.
+ * Checking reverse dependencies
+ * Packages containing binaries and libraries broken by a package update
+ * will be emerged.
+
+ * Collecting system binaries and libraries
+ * Generated new 1_files.rr
+ * Collecting complete LD_LIBRARY_PATH
+ * Generated new 2_ldpath.rr
+ * Checking dynamic linking consistency
+[ 48% ]  *   broken /usr/lib/gstreamer-0.10/libgsttaglib.la (requires /usr/lib/libtag.la)
+[ 64% ]  *   broken /usr/lib/libgdkglext-x11-1.0.la (requires /usr/lib/libGLU.la)
+[ 67% ]  *   broken /usr/lib/libgtkglext-x11-1.0.la (requires /usr/lib/libGLU.la)
+[ 85% ]  *   broken /usr/lib/python2.6/site-packages/gtk-2.0/gtk/gdkgl/_gdkgl.la (requires /usr/lib/libGLU.la)
+ *   broken /usr/lib/python2.6/site-packages/gtk-2.0/gtk/gtkgl/_gtkgl.la (requires /usr/lib/libGLU.la)
+[ 97% ]  *   broken /usr/qt/3/lib/libqt-mt.la (requires -lpng)
+[ 100% ]
+ * Generated new 3_broken.rr
+ * Assigning files to packages
+ *   /usr/lib/gstreamer-0.10/libgsttaglib.la -> media-plugins/gst-plugins-taglib
+ *   /usr/lib/libgdkglext-x11-1.0.la -> x11-libs/gtkglext
+ *   /usr/lib/libgtkglext-x11-1.0.la -> x11-libs/gtkglext
+ *   /usr/lib/python2.6/site-packages/gtk-2.0/gtk/gdkgl/_gdkgl.la -> dev-python/pygtkglext
+ *   /usr/lib/python2.6/site-packages/gtk-2.0/gtk/gtkgl/_gtkgl.la -> dev-python/pygtkglext
+ *   /usr/qt/3/lib/libqt-mt.la -> x11-libs/qt
+ * Generated new 4_raw.rr and 4_owners.rr
+ * Cleaning list of packages to rebuild
+ * Generated new 4_pkgs.rr
+ * Assigning packages to ebuilds
+ * Generated new 4_ebuilds.rr
+ * Evaluating package order
+ * Generated new 5_order.rr
+ * All prepared. Starting rebuild
+emerge --oneshot --pretend  dev-python/pygtkglext:0
+media-plugins/gst-plugins-taglib:0.10
+x11-libs/gtkglext:0
+x11-libs/qt:3
+
+These are the packages that would be merged, in order:
+
+Calculating dependencies... done!
+[ebuild   R   ] media-plugins/gst-plugins-taglib-0.10.17
+[ebuild   R   ] x11-libs/gtkglext-1.2.0
+[ebuild   R   ] x11-libs/qt-3.3.8b-r2
+[ebuild   R   ] dev-python/pygtkglext-1.1.0
+ * Now you can remove -p (or --pretend) from arguments and re-run revdep-rebuild.
 </pre>
 
 <p>
@@ -757,13 +883,10 @@
 <body>
 
 <p>
-<c>glsa-check</c> sert essentiellement à garder un œil sur les GLSA (les
-Recommandations Gentoo Linux sur la sécurité, en anglais «&nbsp;Gentoo Linux
-Security Advisories&nbsp;»). Les fonctions de <c>glsa-check</c> seront
-incorporées à <c>emerge</c> et <c>equery</c> plus tard. Pour plus
-d'informations, visitez la page <uri
-link="/proj/en/portage/glsa-integration.xml">Portage GLSA Integration</uri> (en
-anglais).
+<c>glsa-check</c> sert  à garder un œil sur les GLSA (<e>Gentoo Linux
+Security Advisories</e> ou encore 
+<e>Recommandations Gentoo Linux sur la sécurité</e>, en français). Les fonctions de <c>glsa-check</c> seront
+incorporées à <c>emerge</c> et <c>equery</c> plus tard. 
 </p>
 
 </body>
@@ -776,27 +899,27 @@
 <c>eread</c> est un utilitaire simple qui vous permet de lire les fichiers elog
 produits par <c>>=portage-2.1</c>. Pour activer l'enregistrement des fichiers
 elog, paramétrez quelques variables dans votre fichier
-<path>/etc/make.conf</path>&nbsp;:
+<path>/etc/portage/make.conf</path>&nbsp;:
 </p>
 
-<pre caption="Activer elog dans /etc/make.conf">
+<pre caption="activer elog dans /etc/portage/make.conf">
 PORTAGE_ELOG_CLASSES="log"
 PORTAGE_ELOG_SYSTEM="save"
 </pre>
 
 <note>
-Ce n'est qu'un exemple. Pour savoir comment fonctionne le système elog de
+ce n'est qu'un exemple. Pour savoir comment fonctionne le système elog de
 Portage, veuillez vous référer à la page appropriée du <uri
 link="/doc/en/handbook/handbook-x86.xml?part=3&amp;chap=1#doc_chap4">Manuel de
 Portage</uri>.
 </note>
 
 <p>
-Une fois qu'elog est configuré aux petits ognons, lancez simplement
+Une fois qu'elog est configuré à votre convenance, lancez simplement
 <c>eread</c> pour visualiser les fichiers d'historique.
 </p>
 
-<pre caption="Utiliser eread">
+<pre caption="utiliser eread">
 $ <i>eread</i>
 
 This is a list of portage log items. Choose a number to view that file or type q to quit.
@@ -820,5 +943,30 @@
 
 </body>
 </section>
+<section>
+<title>eclean</title>
+<body>
+
+<p>
+<c>eclean</c> est un outil de nettoyage pour retirer les fichiers sources ou binaires inutiles sur votre système.
+</p>
+
+<p>
+Lorsque vous compilez et installez des paquets, les fichiers source sont téléchargés et sauvegardés dans DISTDIR, ordinairement <path>/usr/portage/distfiles</path>. Ce fonctionnement peut conduire à l'accumulation de gigaoctets au fil du temps si vous ne les nettoyez pas régulièrement. Vous pouvez utiliser la commande  <c>eclean-dist</c> pour ne retirer que les fichiers source de
+DISTDIR.
+</p>
+
+<p>
+Vous pouvez créer des archives à partir des paquets installés en utilisant <c>quickpg</c> ou 
+FEATURES="buildpkg". Ces archives sont conservées dans  PKGDIR, ordinairement
+<path>/usr/portage/packages</path>. Quand vous n'avez plus besoin de les conserver à portée, ou s'ils sont devenus trop vieux, vous pouvez utiliser  <c>eclean-pkg</c> pour les retirer de PKGDIR. C'est une bonne façon de garantir que les paquets binaires que vous avez correspondent aux dernières versions.
+</p>
+
+<p>
+Pour plus d'information sur  <c>eclean</c> et sur la manière de tenir à jour un système sans résidu , lisez  <c>man eclean</c>.
+</p>
+
+</body>
+</section>
 </chapter>
 </guide>



1.161                xml/htdocs/doc/fr/metadoc.xml

file : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/metadoc.xml?rev=1.161&view=markup
plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/metadoc.xml?rev=1.161&content-type=text/plain
diff : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/metadoc.xml?r1=1.160&r2=1.161

Index: metadoc.xml
===================================================================
RCS file: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/metadoc.xml,v
retrieving revision 1.160
retrieving revision 1.161
diff -u -r1.160 -r1.161
--- metadoc.xml	2 May 2013 17:47:19 -0000	1.160
+++ metadoc.xml	1 Jun 2013 07:51:36 -0000	1.161
@@ -1,8 +1,8 @@
 <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
 <!DOCTYPE metadoc SYSTEM "/dtd/metadoc.dtd">
-<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/metadoc.xml,v 1.160 2013/05/02 17:47:19 swift Exp $ -->
+<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/metadoc.xml,v 1.161 2013/06/01 07:51:36 swift Exp $ -->
 <metadoc lang="fr" parent="/doc/en/metadoc.xml">
-  <version>1.39</version>
+  <version>1.40</version>
   <members>
     <lead>cam</lead>
     <lead>titefleur</lead>
@@ -370,7 +370,7 @@
     <file id="multipath">/doc/en/multipath.xml</file>
     <file id="devmanual">/proj/en/qa/devmanual.xml</file>
     <file id="xserver-1.6-upgrade">/proj/en/desktop/x/x11/xorg-server-1.6-upgrade-guide.xml</file>
-    <file id="openbox">/doc/en/openbox.xml</file>
+    <file id="openbox">/doc/fr/openbox.xml</file>
     <file id="bind-guide">/doc/en/bind-guide.xml</file>
   </files>
   <docs>



1.1                  xml/htdocs/doc/fr/openbox.xml

file : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/openbox.xml?rev=1.1&view=markup
plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/openbox.xml?rev=1.1&content-type=text/plain

Index: openbox.xml
===================================================================
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
<!DOCTYPE guide SYSTEM "/dtd/guide.dtd">
<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/openbox.xml,v 1.1 2013/06/01 07:51:36 swift Exp $ -->

<guide lang="fr">
<title>Guide de configuration d'Openbox </title>

<author title="Auteur">
  <mail link="nathanzachary"/>
</author>
<author title="Auteur">
  <mail link="nightmorph"/>
</author>
<author title="Traducteur">
  <mail link="jaaf.forums@××××××××.com">José Fournier</mail>
</author>

<abstract>
Ce document vous guidera tout au long de l'installation du gestionnaire de fenêtres Openbox, et vous indiquera un grand nombre de programmes utilisables avec lui.

</abstract>

<!-- The content of this document is licensed under the CC-BY-SA license -->
<!-- See http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.5 -->
<license/>

<version>8</version>
<date>2012-12-29</date>

<chapter>
<title>Introduction</title>

<section>
<title>Qu'est-ce qu'Openbox?</title>
<body>

<p>
Bien&nbsp;! Vous venez tout juste d'installer <uri link="/doc/fr/xorg-config.xml">le serveur X </uri> et vous réalisez que disposer de TWM seul ne va pas vous satisfaire. Vous avez aussi certainement l'expérience d'environnements de bureau assez lourds tels que <uri
link="/proj/fr/desktop/kde/kde4-guide.xml">KDE</uri>, <uri
link="/doc/fr/gnome-config.xml">GNOME</uri>, et <uri
link="/doc/fr/xfce-config.xml">Xfce</uri>. Un des composants de ces environnement de bureau est appelé <e>gestionnaire de fenêtres</e> ou, pour faire plus court, <e>WM</e> (pour <e>Window Manager</e> en anglais). Un gestionnaire de fenêtres est en charge de donner leur apparence et leur place aux fenêtres dans lesquelles les applications s'exécutent. Openbox est un de ces gestionnaires de fenêtres, minimaliste et sans fioritures. 
</p>

</body>
</section>
<section>
<title>Pour quelles raisons devriez-vous utiliser Openbox&nbsp;?</title>
<body>

<p>
Openbox,contrairement aux autres environnements plus volumineux, dépend d'un nombre limité de bibliothèques. Pour cette raison, il fournit un environnement graphique léger et rapide, même sur des matériels anciens. Que votre matériel soit récent ou ancien, Openbox vous apporte également un environnement de travail très configurable et non envahissant. Ceci signifie qui si vous ne désirez pas ou n'avez pas besoin de tel ou tel panneau, barre de tâches, horloge ou autre programme, c'est à votre entière discrétion&nbsp;! 
</p>

</body>
</section>
</chapter>

<chapter>
<title>Installation et configuration</title>
<section>
<title>Installation initiale</title>
<body>

<p> Après avoir installé et configuré  <c>xorg-server</c>, vous pouvez installer Openbox à l'aide d'une simple commande&nbsp;:
</p>

<pre caption="installer Openbox">
# <i>emerge -av openbox</i>
</pre>

<p> Tout comme les autres gestionnaires de fenêtres et environnements de bureau, vous devez demander au serveur X de charger Openbox automatiquement en l'ajoutant au script 
<path>~/.xinitrc</path>.
</p>

<pre caption="ajouter Openbox à votre  .xinitrc">
$ <i>echo "exec openbox-session" >> ~/.xinitrc</i>
</pre>

<p> Ceci démarrera votre session Openbox automatiquement quand vous saisirez  <c>startx</c> à la console.
</p>

<impo>comme chaque utilisateur dispose de son propre  <path>.xinitrc</path>, vous devez veiller à lancer cette commande sous votre <e>nom d'utilisateur </e>, et non en tant qu'administrateur root.
</impo>

<note>
si vous rencontrez des problèmes avec le montage automatique, ou si vous utilisez dbus et ConsoleKit, vous souhaiterez peut-être placer <c>exec ck-launch-session dbus-launch --sh-syntax
--exit-with-session openbox-session</c> dans votre <path>.xinitrc</path> plutôt que ce qui a été mentionné plus haut comme solution par défaut.
</note>

<note>
vous pouvez aussi remplacer le gestionnaire de fenêtre par défaut ( KDE, GNOME, ou Xfce) par 
Openbox en suivant les directives  de la section <uri link="#inside-desktop-env">Openbox comme partie des environnement de bureau</uri>.
</note>

<p>Maintenant que vous avez installé Openbox et que vous l'avez ajouté à voter fichier <path>.xinitrc</path>,
lancez-vous et saisissez la commande <c>startx</c> pour voir Openbox à l'œuvre. Comme vous pouvez le voir, le bureau n'est qu'une pagaille sans nom&nbsp;! En continuant avec la philosophie Openbox, vous découvrirez que ce n'est là qu'un squelette à partir duquel vous pourrez fabriquer un environnement de bureau complètement à votre goût.
</p>

<p> Comme vous ne voyez rien de plus qu'un écran noir, vous pouvez vous demander où se trouve le menu. Si vous faites un clic sur le bouton de droite, vous apercevrez un menu contextuel à l'endroit de votre pointeur. Il ne s'agit là que d'un exemple pour illustrer le style de menu qu'Openbox fournit. Comme ceci n'est qu'un exemple, aucun des programmes proposés ne fonctionnera, sauf si vous l'avez déjà installé. Dans la section suivante, vous verrez comment créer votre <e>propre</e> menu avec des liens vers vos <e>propres</e> programmes.

</p>

<impo>si vous cliquez pour voir le menu et que rien n'est lisible, vous devez installer quelques polices de caractères. Les choix les plus courants sont  <c>media-fonts/corefonts</c> et
<c>media-fonts/ttf-bitstream-vera</c>.
</impo>

</body>
</section>
<section>
<title>Configuration du menu</title>
<body>

<p>Comme le menu par défaut d'Openbox est essentiellement sans intérêt pour vous pour les raisons mentionnées plus haut, il est temps d'en créer un qui vous soit utile. Tout ce qui apparaît dans le menu d'Openbox est inscrit de manière appropriée dans le fichier  <path>menu.xml</path>. Ce fichier peut être, selon son emplacement,   spécifique à l'utilisateur ou applicable à tous les utilisateurs. Dans le premier cas il s'agit  de   <path>~/.config/openbox/menu.xml</path>, dans le deuxième cas de 
<path>/etc/xdg/openbox/menu.xml</path>. Par défaut, cest l'unique fichier
<path>menu.xml</path> applicable à tous les utilisateurs qui est utilisé.
</p>

<p>Une manière simple d'obtenir un menu de base que vous pourrez adapter, est de faire appel à la commande <e>menumaker</e> qui génère un fichier  <path>menu.xml</path> tenant compte des programmes qui sont installés sur votre système. Pour cela, il vous faut d'abord installer <e>menumaker</e>.
</p>

<pre caption="installer MenuMaker">
# <i>emerge menumaker</i>
</pre>

<p>Une fois installé, vérifiez que vous n'êtes pas reconnu en tant qu'administrateur root mais bien en tant qu'utilisateur standard. Vous pouvez alors demander à <e>menumaker</e> de créer un menu pour vous en utilisant la syntaxe XML d'Openbox&nbsp;:
</p>

<pre caption="utiliser MenuMaker pour créer un fichier menu.xml de base">
$ <i>mmaker -v OpenBox3</i>
</pre>

<p>Le menu ainsi généré sera <path>~/.config/openbox/menu.xml</path>. Vous pouvez alors choisir de le conserver comme menu spécifique à votre nom d'utilisateur (<path>menu.xml</path>), ou de le recopier dans l'emplacement réservé au menu applicable à tous les utilisateurs&nbsp;:
</p>

<pre caption="écraser le menu applicable par défaut à tous les utilisateurs">
# <i>cp .config/openbox/menu.xml /etc/xdg/openbox/menu.xml</i>
</pre>

<impo> c'est une bonne idée d'utiliser <e>menumaker</e> pour générer un menu par défaut car il contiendra les items du menu racine d'Openbox. Ces items comprennent un commutateur de bureaux virtuels et les commande de sortie de session et de redémarrage.
</impo>

<p>Lorsque vous ouvrez le fichier <path>menu.xml</path> dans votre éditeur favori (nano,
par exemple), vous constatez que les balises XML utilisées sont faciles à comprendre. Vous pouvez décider de modifier le fichier par défaut pour l'adapter à vos besoin ou, au contraire, de l'écrire en partant de zéro (ne vous inquiétez pas, c'est réellement facile). La syntaxe pour écrire le fichier <e>menu.xml</e> est la suivante&nbsp;:
</p>

<pre caption="éditer le fichier menu.xml">
&lt;?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?&gt;
&lt;openbox_menu&gt;
&lt;separator label="NAME_OF_SEPARATOR" /&gt;
&lt;menu id="IDENTIFIER" label="NAME_OF_MENU"&gt;
  &lt;item label="NAME_OF_PROGRAM"&gt;
    &lt;action name="execute"&gt;&lt;execute&gt;/LOCATION/OF/BINARY&lt;/execute&gt;&lt;/action&gt;
  &lt;/item&gt;
&lt;/menu&gt;
&lt;/openbox_menu&gt;
</pre>

<p>L'exemple ci-dessus fonctionne pour toutes les applications qui démarrent avec des options standards dans leur propre fenêtre. Mais que se passe-t-il si vous voulez ajouter des options au lancement d'un programme&nbsp;? Ce n'est pas un problème non plus, mais la syntaxe des items du menu est alors légèrement différente.
</p>

<pre caption="éditer le fichier menu.xml">
&lt;?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?&gt;
&lt;openbox_menu&gt;
&lt;separator label="NAME_OF_SEPARATOR" /&gt;
&lt;menu id="IDENTIFIER" label="NAME_OF_MENU"&gt;
  &lt;item label="NAME_OF_PROGRAM"&gt;
    &lt;action name="execute"&gt;&lt;command&gt;/LOCATION/OF/BINARY --OPTION1 --OPTION2&lt;/command&gt;&lt;/action&gt;
  &lt;/item&gt;
&lt;/menu&gt;
&lt;/openbox_menu&gt;
</pre>

<p>Remplacez seulement les mots en lettres capitales dans les deux exemples ci-dessus avec vos informations propres. En alternative, vous pouvez installer une interface graphique qui vous permet de personnaliser votre menu sans intervenir directement dans le fichier <path>menu.xml</path>  avec la commande  <c>emerge obmenu</c>. Il s'agit d'une petite interface  qui présente un nombre important de moyens de personnaliser votre menu sans écrire la moindre ligne en XML.
</p>

</body>
</section>
<section>
<title>Configuration du thème d'Openbox et de son comportement</title>
<body>

<p>En plus d'être minimaliste et léger, Openbox est aussi étonnamment configurable et flexible. En tant qu'utilisateur standard, vous pouvez facilement changer de nombreux réglages concernant le thème, l'apparence, le placement des fenêtres, l'ancrage et plus. Il y a deux manières de le faire. Vous pouvez le faire en éditant directement <path>~/.config/openbox/rc.xml</path>, ou en faisant appel à une interface graphique. 
</p>

<p>Si vous voulez éditer <path>rc.xml</path> directement , vous l'ouvrez dans votre éditeur favori et commencez à faire les changements. Par prudence, faites une sauvegarde du fichier original sous un nom/emplacement tel que
<path>~/.config/openbox/rc.xml.default</path>. Il y a des tas de commentaires dans ce document qui vous aiderons lors de l'édition. Si cela ne vous suffit pas, vous pouvez consulter  <uri
link="http://icculus.org/openbox/index.php/Help:Contents#Configuration">Openbox
configuration guide</uri> (en anglais).
</p>

<p>Si l'édition manuelle de  <path>rc.xml</path> n'est pas votre tasse de thé, vous pouvez faire appel à l'application GTK pour gérer les thèmes et comportements d'Openbox. L'application s'appelle <e>obconf</e> et s'installe aussi facilement qu'Openbox elle-même. 
</p>

<pre caption="installer obconf">
# <i>emerge obconf</i>
</pre>

<p>Vous pouvez ouvrir le configurateur en entrant <c>obconf</c> dans votre terminal.
Ensuite, vous pouvez ajouter une entrée pour <e>obconf</e> dans votre fichier  <path>menu.xml</path> pour qu'elle apparaisse dans le menu Openbox. Si le code « éditer le fichier menu.xml » vu auparavant reste encore vague pour vous, nous allons utiliser le cas d'<e>obconf</e>  comme une illustration de la manière d'ajouter une entrée de menu au menu d'Openbox&nbsp;:
</p>

<pre caption="éditer le fichier menu.xml">
&lt;?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?&gt;
&lt;openbox_menu&gt;
&lt;menu id="1" label="Configuration"&gt;
  &lt;item label="OpenBox Config"&gt;
    &lt;action name="execute"&gt;&lt;execute&gt;/usr/bin/obconf&lt;/execute&gt;&lt;/action&gt;
  &lt;/item&gt;
&lt;/menu&gt;
&lt;/openbox_menu&gt;
</pre>

<p>Alors qu'<e>obconf</e> est une interface importante pour modifier beaucoup de réglages relatifs au comportement d'Openbox, elle ne permet pas de manipuler tous les réglages qui sont présents dans le fichier <path>rc.xml</path> lui-même. Si vous rencontrez des difficultés à trouver un réglage particulier que vous aimeriez changer, consultez  <uri link="http://openbox.org/wiki/Configuration">Openbox Wiki</uri> (en anglais) pour plus d'information.</p>

<note>dans les dernières version d'Openbox  (nommément  >3.4.7.2), on peut constater un retard à l'ouverture du sous-menu. Ce réglage a été introduit dans le fichier  rc.xml et est identifié comme  &lt;submenuShowDelay&gt;100&lt;/submenuShowDelay&gt;.  Vous pouvez choisir une valeur plus basse si vous voulez une ouverture plus rapide.
</note>

</body>
</section>
<section>
<title>Configuration des programmes à démarrer automatiquement</title>
<body>

<p>
Comme nous l'avons déjà mentionné, vous ne voyez pas grand-chose lorsque vous exécutez la commande  <c>startx</c> pour la première fois après l'installation d'Openbox. En plus de  personnaliser vos menus et de changer le comportement du gestionnaire de fenêtres, vous désirerez peut-être que des programmes démarrent automatiquement avec votre session Openbox. Il existe un script   <path>autostart.sh</path>  facile à éditer qui vous permet justement de le faire. Tout comme pour le fichier <path>menu.xml</path> , il y a deux emplacements pour le script <path>autostart.sh</path>. Un pour l'ensemble des utilisateurs (soit
(<path>/etc/xdg/openbox/autostart.sh</path>), et un autre spécifique à l'utilisateur en cours 
( soit <path>~/.config/openbox/autostart.sh</path>).
</p>

<p>
Dans le script <path>autostart.sh</path> par défaut, vous apercevrez un ensemble de lignes appelant des programmes tels que gnome-setting-daemon, XDG et d'autres. Ces lignes causeront des erreurs au moment de quitter la session s'ils ne sont pas installés et configurés. La chose la plus simple à faire quand vous démarrez avec Openbox et de mettre ces lignes en commentaire en les préfixant par un caractère #.</p>

<pre caption="mettre des lignes en commentaire dans autostart.sh">
# Run XDG autostart things. By default don't run anything desktop-specific
# DESKTOP_ENV=""
# if which /usr/lib/openbox/xdg-autostart >/dev/null; then
#  /usr/lib/openbox/xdg-autostart $DESKTOP_ENV
# fi
</pre>

<p>
Dans l'exemple qui précède, le caractère # a été ajouté devant chacune des lignes. La mise en commentaire est préférable à l'effacement pur et simple parce que vous pouvez en avoir besoin ultérieurement.
</p>

<p>
Ajouter vos propres programmes au script <path>autostart.sh</path> est aussi facile que de saisir le nom d'un programme. Par exemple, si 
<uri link="http://packages.gentoo.org/package/app-admin/conky">Conky</uri> (superviseur système léger) est installé et que vous voulez qu'il démarre automatiquement au lancement de votre session Openbox, ajoutez simplement la ligne suivante à votre script <path>autostart.sh</path>&nbsp;:
</p>

<pre caption="ajouter Conky à votre script autostart.sh">
conky &amp;
</pre>

<p>
L'esperluette (&amp;) après la commande permet de lancer le programme en arrière-plan. Vous voudrez très probablement que le script <path>autostart.sh</path> lance les applications en arrière-plan parce que, ce faisant, vous permettrez à Openbox et d'autres programmes de se charger sans attendre que le précédent n'en ait terminé.
</p>

</body>
</section>
<section>
<title>Configuration de  PolKit</title>
<body>

<p>
De nombreuses applications dépendent de l'infrastructure d'authentification  <uri
link="http://hal.freedesktop.org/docs/PolicyKit">PolKit</uri>. Vous pouvez avoir besoin d'un agent  PolKit tel que <c>polkit-gnome</c>, qui fonctionne dans votre session Openbox.
</p>

<p>
Tout d'abord, installez l'agent&nbsp;:
</p>

<pre caption="installer PolKit">
# <i>emerge polkit-gnome</i>
</pre>

<p>Configurez maintenant PolKit pour qu'il démarre automatiquement quand vous vous entrez dans votre  session Openbox. Ajoutez la ligne suivante à votre fichier <path>~/.config/openbox/autostart</path> (valable pour l'utilisateur courant) ou à <path>/etc/xdg/openbox/autostart.sh</path> (valable pour tous les utilisateurs):
</p>

<pre caption="lancer PolKit automatiquement">
sleep 1 &amp;&amp; /usr/libexec/polkit-gnome-authentication-agent-1 &amp;
</pre>

</body>
</section>
<section>
<title>Définition de l'arrière-plan</title>
<body>

<p>
Des choses que vous pouvez considérer comme acquises dans des environnements de bureau plus conséquents ne sont pas incluses par défaut dans Openbox. La définition de votre arrière plan fait partie de ces choses. Pour pouvoir utiliser une image en tant que papier peint, vous devez installer un programme tel que  <uri
link="http://packages.gentoo.org/package/media-gfx/feh">feh</uri> ou <uri
link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/nitrogen">nitrogen</uri>.
<c>feh</c> est un visualisateur d'images simple qui peut aussi mettre votre arrière-plan en place, et qui peut être facilement ajouté à votre script autostart. Après avoir installé <c>feh</c>, utilisez la commande suivante pour définir l'arrière-plan&nbsp;:
</p>

<pre caption="utiliser feh pour définir l'image d'arrière-plan">
<comment>(feh possède bien d'autres options que --bg-scale, 
qui adapte l'image aux dimensions de l'écran.
Consultez la documentation de  feh.)</comment>
$ <i>feh --bg-scale /path/to/image.jpg</i>
</pre>

<p>
Dès lors que vous avez défini l'arrière-plan à la main, un fichier nommé <path>.fehbg</path> a été créé dans votre dossier utilisateur. Ce fichier contient la commande que vous venez de saisir dans le terminal, et est mis à jour automatiquement quand vous saisissez une nouvelle commande de définition de l'arrière-plan. À partir de là, pour que l'image soit mise en place automatiquement au démarrage de votre session, vous devez ajouter la ligne suivante à votre script 
<path>autostart.sh</path>&nbsp;:
</p>

<pre caption="utiliser feh pour définir l'image d'arrière-plan">
source $HOME/.fehbg &amp;
</pre>

<p>
Si l'idée d'entrer une commande dans un terminal pour définir votre image d'arrière-plan ne vous réjouit pas, vous pouvez utiliser <c>nitrogen</c> en alternative. Ce programme vous permettra de définir un dossier où placer vos images d'arrière-plan, de visualiser des vignettes de ces images, de les ajuster, les étirer ou les placer en tuiles sur votre bureau.
</p>

<p>
Installer <c>nitrogen</c> et le faire apparaître dans votre menu Openbox nécessitent quelques étapes. Tout d'abord installez-le avec la commande  <c>emerge nitrogen</c>. Ensuite, lancer  <c>nitrogen</c> après avoir ajouté votre dossier d'images d'arrière-plan&nbsp;:
</p>

<pre caption="lancer nitrogen avec votre dossier d'images en place">
$ <i>nitrogen /chemin/vers/votre/dossier/images</i>
</pre>

<p>
En troisième lieu, vous pouvez définir votre image d'arrière-plan, mais cette image n'apparaîtra pas après déconnexion. Tout comme avec  <c>feh</c>, vous devez rétablir votre arrière-plan en éditant le script  <path>autostart.sh</path>  pour avoir les lignes suivantes&nbsp;:
</p>

<pre caption="rétablir votre arrière-plan avec nitrogen">
nitrogen --restore &amp;
</pre>

<p>
Ceci lancera automatiquement nitrogen au démarrage de votre session, ce qui pourra se traduire par un temps légèrement plus long qu'avec feh.
</p>

</body>
</section>
</chapter>

<chapter>
<title>Programmes à utiliser avec Openbox</title>
<section>
<body>

<p>
La liste présentée ci-dessous contient des programmes que vous désirerez peut-être installer dans votre environnement Openbox. Bien qu'elle comprenne un nombre important d'émulateurs de terminal, de gestionnaires de fichiers, de panneaux et autres, elle ne saurait être considérée comme exhaustive. Si, dans une catégorie donnée, vous ne trouvez pas votre bonheur, reportez-vous à la dite catégorie dans Portage pour plus de choix.

</p>

</body>
</section>
<section>
<title>Émulateurs de terminal</title>
<body>

<ul>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/lxde-base/lxterminal">LXterminal</uri>
    	est l'émulateur de terminal par défaut pour LXDE. Il est très léger et se 	base sur  VTE. Alors  qu'EvilVTE offre beaucoup plus d'options de personnalisation (y compris la gestion de la transparence), LXterminal dispose d'une interface graphique pour quelques unes des options les plus courantes (polices de caractères, couleurs, et cetera).
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-terms/evilvte">EvilVTE</uri> est un émulateur de terminal extrêmement léger basé sur  VTE. Il prend en charge les onglets, des encodages multiples, et un fichier de configuration extensible et simple. 
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/x11-terms/mrxvt">Mrxvt</uri>
    est un clone multi-onglets de rxvt avec XFT, un arrière-plan transparent et une prise en charge des polices CJK (Chinois, Japonais, Koréen). Il dispose aussi d'une prise en charge de la session dans chacun des onglets. 
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/x11-terms/aterm">Aterm</uri>
   prend en charge la transparence et est rétro-compatible avec rvxt. Il a été conçu à l'origine pour le gestionnaire de fenêtres AfterStep, mais s'intègre facilement dans d'autres environnements. 
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/x11-terms/eterm">Eterm</uri>
    est un terminal basé sur vt102 et conçu comme un remplaçant d'xterm avec  plus de fonctionnalités .
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-terms/rxvt-unicode">Rxvt-unicode</uri>
    est un clone de rxvt qui prend en charge l'Unicode, les démons, le langage perl incorporé, et des polices de caractères multiples en simultanéité.
    
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-terms/xfce4-terminal">Terminal</uri>
    est le terminal par défaut de l'environnement de bureau XFCE. Étant basé sur VTE, il réclame quelques bibliothèques XFCE pour fonctionner. Néanmoins, il est encore très rapide, prend en charge la transparence et peut être facilement personnalisé. 
  </li>
</ul>

</body>
</section>
<section>
<title>Gestionnaires de fichiers</title>
<body>

<ul>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/pcmanfm">PCManFM</uri> est le gestionnaire de fichiers léger de LXDE. Il prend en charge la navigation, le glisser-déposer, les vignettes d'images, les marque-pages, la gestion des volumes, la recherche et autres. Il prend également en charge la gestion des arrière-plans et des icônes de bureau (les deux en option)..
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/xfce-base/thunar">Thunar</uri> est le gestionnaire de fichiers de XFCE. Il possède des fonctionnalités de renommage en groupes, d'actions personnalisables, une infrastructure pour les extensions accompagnée de greffons en option tels que l'édition de balises pour médias. Il dépend de plusieurs bibliothèques XFCE, mais reste néanmoins de taille réduite comparé à d'autres gestionnaires de fichiers comme 
    Nautilus (de GNOME), et Konqueror (de KDE).
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/gnome-base/nautilus">Nautilus</uri> est le très puissant gestionnaire de fichiers de l'environnement de bureau GNOME. Il prend en charge la gestion des volumes, les vignettes d'images, la recherche et quelques aspects de la configuration du système. Comme il dépend de beaucoup des bibliothèques de GNOME pour fonctionner correctement, il peut être considéré comme un peu lourd en comparaison des autres gestionnaires de fichiers.
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/app-misc/gentoo">Gentoo</uri>
    (rien à voir avec cette glorieuse distribution de Linux) est un gestionnaire de fichiers à deux panneaux. Il est incroyablement léger, mais est un peu dépourvu des fonctionnalités désormais de premier plan dans les gestionnaires modernes. Il ne devrait être envisagé que pour des matériels anciens, ou si vous désirez une configuration sommaire
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/app-misc/emelfm2">emelFM2</uri> est un autre gestionnaire de fichiers de la même veine que Midnight Commander. Il possède une fenêtre à deux panneaux. Tout comme le gestionnaire de fichiers Gentoo vu plus haut, il est sommaire et ne possède pas les fonctionnalités de premier plan des nouveaux gestionnaires de fichiers. Néanmoins, il offre des fonctionnalités qui lui sont spéciques telles que une ligne de commande incorporée dans un panneau séparé.
  </li>
</ul>

</body>
</section>
<section>
<title>Gestion du bureau</title>
<body>

<ul>
  <li>
    Bien que  <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/pcmanfm">PCManFM</uri> soit avant tout un gestionnaire de fichiers, il vous permet également de gérer l'arrière-plan du bureau (à la place de  <c>feh</c> ou de <c>nitrogen</c>) et de dessiner des icônes de bureau.
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/idesk">iDesk</uri> est un programme simple utilisé pour dessiner des icônes. Il prend en charge les polices de caractères anti-crénelage et à ombre portée, les images PNG, le positionnement magnétique sur la grille et le remplacement de l'arrière-plan du bureau.
  </li>
</ul>

</body>
</section>
<section>
<title>Panneaux</title>
<body>

<ul>
  <li>
    <uri link="http://code.google.com/p/tint2/">Tint2</uri> englobe un panneau et une barre de tâches simples et légers. Il prend en charge la transparence, une horloge, le glisser-déposer entre bureaux virtuels, une zone de notification et la surveillance de la charge de la batterie. Vous pouvez même ajouter un bouton pour afficher le menu des applications depuis votre gestionnaire de fenêtres. 
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/pypanel">PyPanel</uri> est un panneau facile à configurer, écrit en Python et en C. Il gère la transparence, l'ombrage, adaptation de la teinte, la configuration des emplacements et de la disposition, les types de polices de caractères, l'auto-effacement, les lanceurs d'applications, l'horloge et plus encore.
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/lxde-base/lxpanel">LXPanel</uri> englobe le panneau et la barre de tâches par défaut de LXDE. Il possède, un lanceur d'applications, un menu, une horloge et configurateur graphique. Il est riche de fonctionnalités tout en restant dépendant d'un nombre limité de paquets, ce qui en fait un choix intéressant pour les systèmes allégés.
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/xfce-base/xfce4-panel">Xfce4-panel</uri>
    est le panneau par défaut de l'environnement de bureau Xfce. Il prend en charge  les lanceurs d'applications, des menus détachables, un gestionnaire de bureaux virtuels, une liste de tâches, une horloge, des applets et plus encore. Il réclame quelques unes des bibliothèques  de XFCE dont se passent les autres panneaux.
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/fbpanel">FBpanel</uri> est un panneau simple et très léger qui prend en charge les listes de fenêtres, les lanceurs, une horloge et quelques autres attractions. Ce n'est pas le panneau le plus riche de fonctionnalités et il peut être ennuyeux à configurer. Il ne réclame que GTK+ pour fonctionner.
   
  </li>
</ul>

</body>
</section>
<section>
<title>Gestionnaires de bureaux virtuels et zones de notifications système</title>
<body>

<ul>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/netwmpager">NetWMpager</uri>
    est un gestionnaire de bureaux virtuels obéissant à la spécification EWMH  qui s'intègre agréablement dans n'importe quel environnement *box. Il n'est pas envahissant et est plus facile à personnaliser que beaucoup des autres gestionnaires.  
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/bbpager">BBpager</uri> est un gestionnaire de bureaux virtuels qui a été écrit à l'origine pour Blackbox, mais qui fonctionne très bien avec Openbox. Il dépend de quelques bibliothèques de Blackbox néanmoins.
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-plugins/docker">Docker</uri> est une zone de notifications système qui est spécialement adaptée à Openbox. Elle ne dépend pas de bibliothèques externes, et vous donne la possibilité de voir et d'utiliser des icônes pour les applications basées sur  GTK et QT prises en charge.
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/trayer">Trayer</uri>
    est une zone de notifications système qui dérive du code de  FBpanel et est souvent utilisée avec  FVWM. Un de ses dividendes est qu'elle prend en charge la transparence. 
  </li>
</ul>

</body>
</section>
<section>
<title>Gestion des sessions</title>
<body>

<ul>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/lxde-base/lxsession">
    LXsession</uri> est le gestionnaire de session allégé  de LXDE. Il est conçu pour mémoriser quelles applications fonctionnaient encore à la dernière déconnexion, et pour les rédémarrer automatiquement. Il prend aussi en charge le démon Hall. 
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/xfce-base/xfce4-session">
    Xfce4-session</uri> est le gestionnaire de session de Xfce.  Il est en mesure de sauvegarder plusieurs sessions et fournit des moyens de vous déconnecter, de redémarrer et de suspendre votre ordinateur. Il dépend de nombreuses bibliothèques XFCE.
    
  </li>
</ul>

</body>
</section>
<section>
<title>Outils de configuration</title>
<body>

<ul>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/obconf">ObConf</uri>
    est une interface graphique qui vous permet de personnaliser le gestionnaire de fenêtres Openbox sans éditer le fichier  <path>~/.config/openbox/rc.conf</path> à la main.
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/lxde-base/lxappearance">LXappearance</uri>
    est un configurateur de thèmes et d'icônes basé sur GTK utilisé par LXDE.  Il fournit une interface graphique agréable pour définir le thème et les icônes tout en ne dépendant que d'un nombre limité de bibliothèques externes. 
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-themes/gtk-chtheme">GTK-ChTheme</uri>
    est une application simple qui permet une commutation facile des thèmes GTK et des polices de caractères. En version actuelle, elle ne permet pas de changer de thème des icônes.
	</li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/x11-themes/gtk-theme-switch">GTK-theme-switch</uri>
    est une autre application simple qui vous permet de changer votre thème GTK.
  </li>
</ul>

</body>
</section>
<section>
<title>Divers</title>
<body>

<ul>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/app-admin/conky">Conky</uri>
    est un outil léger de surveillance du système qui peut afficher plus de 250 objets, y compris la date et l'heure, le taux d'utilisation du processeur, le taux d'utilisation de la mémoire, les courriers IMAP/POP3, l'état des capteurs matériels et même des informations de votre application de lecture audio. Il est très configurable à la fois en apparence et en nature des informations affichées. Pour vous aider, nous mettons à votre disposition le  <uri
    link="/doc/fr/conky-howto.xml"> guide Gentoo Linux pour Conky </uri>.
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/app-editors/leafpad">Leafpad</uri>
    est un éditeur de texte simple. Il est très léger mais inclut des fonctionnalités telles que des options d'encodage des caractères et des possibilités d'annulation/rétablissement sans limite. 
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/media-gfx/feh">feh</uri> est un visualisateur d'images simple qui se lance depuis le terminal, mais qui dispose de bien d'autres fonctionnalités. Il peut afficher des images en diaporama, créer un index d'impression, zoomer dynamiquement et définir l'arrière-plan du bureau (voir les instructions détaillées plus haut dans cette page).
  </li>
  <li>
    <uri
    link="http://packages.gentoo.org/package/media-gfx/gpicview">GPicView</uri>
    est un visualisateur d'images graphique. Bien qu'il dépende de plus de bibliothèques que 
    <c>feh</c>, il est incroyablement rapide au chargement et à l'utilisation. 
  </li>
  <li>
    <uri link="http://packages.gentoo.org/package/x11-misc/slim">SLiM</uri> est un gestionnaire de connexion simple qui permet de vous connecter  à votre session  Openbox via une interface graphique au lieu de la console. Il ne dépend que de très peu de choses, prend en charge de nombreux thèmes mais ne doit pas être utilisé sur des machines qui nécessitent la connexion à distance.
  </li>
</ul>

</body>
</section>
</chapter>

<chapter id="inside-desktop-env">
<title>Openbox comme partie d'un environnement de bureau</title>
<section>
<title>LXDE</title>
<body>

<p>Si le fait d'installer chacun des composants d'un environnement de bureau fonctionnel vous paraît être un niveau de personnalisation 
<e>un peu</e> exagéré, mais que vous souhaitez malgré tout disposer de la flexibilité d'Openbox, vous pouvez vous orienter vers un environnement de bureau qui utilise Openbox comme gestionnaire de fenêtres par défaut. Cet environnement est l'environnement de bureau léger <uri link="http://www.lxde.org/">LXDE</uri>. Il est conçu autour d'Openbox pour réclamer encore moins de ressources système que XFCE.
</p>

</body>
</section>
<section>
<title>Openbox dans GNOME</title>
<body>

<p>
Si vous disposez déjà de l'environnement GNOME, vous pouvez aussi vous contenter de remplacer le gestionnaire de fenêtres Metacity par Openbox. Heureusement, c'est un jeu d'enfant&nbsp;! Lancez votre éditeur favori, ouvrez le fichier
<path>~/.xinitrc</path>, et ajoutez-y la commande suivante&nbsp;:
</p>

<pre caption="ajouter une session Openbox-GNOME à votre .xinitrc">
exec openbox-gnome-session
</pre>

<p>
Si vous utilisez GDM ou un autre gestionnaire de connexion graphique, vous verrez une option
"GNOME/Openbox" nouvelle dans votre menu de sessions. Vous pouvez simplement choisir cette option au lieu d'éditer votre fichier  <path>~/.xinitrc</path> à la main.
</p>

</body>
</section>
<section>
<title>Openbox dans KDE</title>
<body>

<p>
Si vous disposez de KDE et l'appréciez, mais désirez plus de flexibilité pour votre gestion de fenêtres que KWIN n'en offre, vous pouvez utiliser Openbox comme gestionnaire de fenêtres en éditant votre fichier  <path>~/.xinitrc</path> et en remplaçant votre commande exec courante par la suivante&nbsp;:
</p>

<pre caption="ajouter une session Openbox-KDE à votre .xinitrc">
exec openbox-kde-session
</pre>

<p>
Désormais, quand vous lancez <c>startx</c> vous verrez KDE, mais au lieu de KWin, vous disposerez de la flexibilité du gestionnaire de fenêtres Openbox.
</p>

<p>
Si vous utilisez KDM ou un autre gestionnaire de connexion, vous verrez une option
"KDE/Openbox" nouvelle dans votre menu de sessions. Vous pouvez simplement choisir cette option au lieu d'éditer votre fichier  <path>~/.xinitrc</path> à la main.
</p>

<note>
cette méthode d'utilisaion d'Openbox dans KDE a été testée avec les versions KDE 3.x. Bien qu'il paraisse hautement probable qu'elle fonctionnera avec les versions KDE 4.x, cela n'a pas encore fait l'objet de tests approfondis. 
</note>

</body>
</section>
<section>
<title>Openbox dans Xfce</title>
<body>

<p>
Si vous disposez de Xfce4 et que vous voulez remplacer xfwm4 par Openbox, vous devrez procéder d'une manière un peu différente de celle utilisée avec KDE ou GNOME. Tout d'abord, vous devez démarrer votre session  Xfce normalement, et ouvrir un terminal. Depuis le terminal,
lancez la commande suivante&nbsp;:
</p>

<pre caption="tuer xfwm4 et le remplacer par Openbox">
$ <i>killall xfwm4 ; openbox &amp; exit</i>
</pre>

<p>
Ensuite, vous devrez vous déconnecter  de votre session Xfce et vous assurez de cocher la case qui propose "Sauvegarder la  session pour des connexions futures."  Ceci maintiendra  Openbox en tant que gestionnaire de fenêtres par défaut. En troisième lieu, vous noterz que vous ne pouvez pas vous déconnecter proprement en utilisant l'entrée de menu par défaut. Pour régler ce problème, ouvrez votre fichier 
<path>menu.xml</path>, et repérez cette ligne&nbsp;:
</p>

<pre caption="repérer l'action de déconnexion dans menu.xml">
&lt;item label="Exit"&gt;
     &lt;action name="Exit"/&gt;
&lt;/item&gt;
</pre>

<p>
Remplacez cette ligne par&nbsp;:
</p>

<pre caption="remplacer l'action de déconnexion dans  menu.xml">
&lt;item label="Exit"&gt;
  &lt;action name="Execute"&gt;
    &lt;command&gt;xfce4-session-logout&lt;/command&gt;
  &lt;/action&gt;
&lt;/item&gt;
</pre>

<note>
avec  Xfce4, le menu racine procuré par  Xfdesktop sera utilisé au lieu du menu racine d'Openbox.
</note>

</body>
</section>
</chapter>

<chapter>
<title>Documentation pous approfondir</title>
<section>
<title>Ressources externes</title>
<body>

<p>
Alors que ce document vous guide dans l'installation initiale et la personnalisation d'Openbox, ce n'est, en aucune manière, la seule documentation sur le sujet. Il existe plusieurs autres ressources susceptibles de  vous aider dans la création d'un Openbox parfaitement adapté à votre besoin. En voici quelques-unes&nbsp;:
</p>

<ul>
  <li>
    Sur le  <uri link="http://openbox.org/">site officiel d'Openbox (The Official Openbox website)</uri> 
    vous trouverez des informations plus détaillées sur l'application des thèmes, la création de menus (y compris les menus enchaînés), les scripts de démarrage et beaucoup plus encore. Ce site présente aussi des informations sur les versions, les mises à jour, et sur comment participer au développement. 
  </li>
  <li>
    Le  blog <uri link="http://urukrama.wordpress.com/openbox-guide/">guide d'Ururama sur Openbox (Urukrama's
    Guide to Openbox) </uri> contient une multitude d'informations sur la manière de commuter les thèmes, de mettre en place des raccourcis clavier et des effets de bureau, ainsi que d'autres programmes à utiliser en conjonction avec Openbox. Bien que ce tutoriel ait été écrit à l'origine pour Ubuntu,  tout est applicable à Gentoo (et à d'autres distributions Linux sur ce sujet). 
  </li>
  <li>
    <uri link="http://www.box-look.org/">Box-Look</uri> met à votre disposition nombre de thèmes, icônes, papiers-peints, polices de caractères et outils à utiliser avec Openbox (et tout autant avec d'autres gestionnaires de fenêtres tels que   Fluxbox, Blackbox, PekWM, etc.)
  </li>
</ul>

</body>
</section>
</chapter>
</guide>